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combustion spontanee
18/04/2008 04:13
LA COMBUSTION SPONTANEE On ignore encore quelles sont les causes de ce phénomène
On parle de combustion spontanée lorsque des êtres humains brûlent sans aucune raison apparente. C est le plus mystérieux des phénomènes provoqués par le feu. C'est un des sujet du paranormal pour lequel il y a un grand nombre de photos et d'expertises, les cas étant toujours suivis d'enquêtes policières, la mort n'etant pas vraiment de type naturel.
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Les combustions spontanées présentent des constantes: la victime semble ne pas avoir conscience de ce qui lui arrive, la chaleur dégagée est très intense, le feu ne s'étend pas en dehors de la personne ( des victimes ont été carbonisées dans leurs vêtements presque intacts ) et aucun lieu ne semble offrir de protection, y compris les espaces découverts, les navires, les voitures ou même... les cercueils.
Pour la plupart des scientifiques, ces morts s'expliquent par l embrasement d un vêtement par une cigarette ou que la victime se soit trop approchée du feu.
Mais ce qui est contradictoire c'est que même dans les crematoriums le corps humain ne devient jamais que de la cendre, il reste toujours des petits fragments d os qui ont résistés a la chaleur, alors qu il ne reste rien après une combustion spontanée.
Ci-contre: Les restes du Docteur John Irving Bentley, retrouvé avec sa poussette d'infirme, dans les toilettes de sa maison en 1966.
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La combustion spontanée reste un mystère, et les tentatives d'explication sont nombreuses de la part des scientifiques et enquêteurs de la police, plusieurs hypothèses sont envisagées: Un " court circuit " des champs électriques du corps humain, une réaction atomique en chaîne qui produirait une chaleur interne phénoménale, un cocktail de substances chimiques qui se formerait dans l estomac, ou encore un syndrome mortel de l esprit sur la matière qui se produirait avec un état d esprit négatif. Physiologiquement cela se traduit par l' accumulation de phosphagenes, dont la vitamine B10 , dans les tissus , qui sont dans certains cas très inflammables . La combustion serait alors déclanchée par des orages magnétiques, ou d autres phénomènes électriques.
L'inspecteur de police à la retraite John Heymer est l'un des enquêteurs le plus sérieux sur les phénomènes de combustion vive. Il est arrivé a la conclusion que la chaleur intense provoquant la combustion spontanée provient d'une flamme alimentée par du gaz et surgissant de l'intérieur du corps. C'est, selon lui, l'unique explication plausible qui rende compte des températures élevées atteintes dans certaines zones du corps. Certains des indices qui l'ont amené à cette conclusion lui ont été apportés par une affaire survenue le 19 septembre 1967. Ce jour la, un pompier atteignit le lieu de l'accident a temps pour voir une flamme bleue qui sortait encore d'une blessure dans l'abdomen de la victime. On peut supposer que l'homme était bien vivant lorsqu'il a commencé a brûler car il avait mordu fortement le montant de bois de la cage d'escalier ou il était tombé. Bien que cette théorie soit plausible, on ignore encore quelles sont les causes de ce phénomène.
D'après Maryse Locke, le corps humain, d'une manière naturelle et quotidiennement, secrète et expulse du gaz par tous les pores et orifices. Chez certaines personnes, les pores se bouchent, d'où une accumulation de gaz qui se fait à l'intérieur du corps. Il suffit d'une simple étincelle et ce gaz s'enflamme. Cette étincelle elle-même a lieu au niveau interne, provoquée par les pulsations cardiaques et frictions de particules qui mettent "le feu aux poudres". En général, la partie inférieure aux genoux n'est pas touchée par la combustion, les mollets et les pieds ne contenant pas de gaz pour alimenter la combustion. Dès que la combustion ne trouve plus de gaz à sa disposition, le processus s'arrête.
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Le premier cas recensé de combustion humaine spontanée eut lieu en Italie dans les environs de Verone ; au soir du 4 avril 1731 la comtesse Cornelia Bandi 62 ans dîne tranquillement en compagnie du chanoine Bianchini puis part se coucher. Le lendemain matin les domestiques qui pénètrent dans sa chambre sont saisis de stupeur : "le plancher de la chambre précise la gazette locale, était parsemé de grosses taches d'apparence humide et gluante tandis qu'un liquide gras, jaunâtre, écoeurant, coulait le long de la fenêtre emplissant la pièce d'une odeur répugnante". La camériste remarque qu'une fine couche de suie recouvre le meubles, quant à la comtesse Band elle gisait près de son lit où plutôt ce qui restait d'elle : un petit tas de cendre, ses deux jambes et un morceau de sa boîte crânienne, réduit par la force de la combustion. Les autorités et le médecin légiste sont perplexes, le magistrat se contentera de noter dans son rapport "un feu mystérieux semble s'être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse" et l'on se résoudra à classer le dossier pour toujours.
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A Caen ( France ), le 3 juin 1782, une vieille demoiselle disparaît en fumée. Mérille, le chirurgien chargé d'examiner l'affaire, écrit : « Le sommet de la tête gisait sur un des chenets, à quarante-cinq centimètres du feu. Le reste du corps gisait de travers, en face de la cheminée, et n'était plus qu'une masse de cendres. Même les os les plus solides avaient perdu leurs formes et leur consistance. On retrouva le pied droit entier, mais roussi. Bien que ce fut une journée froide, il n'y avait dans le foyer que deux ou trois morceaux de bois brûlés. » Honnêtement, il ajoute que, dans la journée qui a précédé la disparition de Mlle Thaus, des témoins ont vu celle-ci absorber plusieurs litres de vin et un litre de cognac. Un tel exemple a incité un médecin légiste américain, le docteur Dixon Mann, à émettre l'hypothèse selon laquelle ces cas de combus tion humaine spontanée s'expliquaient par l'état d'imbibation alcoolique particulièrement prononcé des victimes. Une étincelle suffirait alors à les enflammer. Malheureusement, et le docteur Mann le reconnaîtra lui-même, de nombreux autres cas de combustion spontanée concernent des personnes qui ne buvaient que de l'eau. Pourtant, le rapport du chirurgien Mérille est formel : Pas un meuble de l'appartement n'était endommagé. On retrouva la chaise sur laquelle elle était assise, intacte, à une cinquantaine de centimètres. Le corps s'était consumé en moins de sept heures, bien que rien d'autre que les vêtements n'ait été calciné.
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A Uruffe, petit bourg lorrain proche de Toul. Ginette Kazmierczak mène une vie solitaire, discrète et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village. Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement car son fils est de sortie. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est pleine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de porte d'entrée de Mme Kazmierczak. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Kazmierczak gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes et le bras droit sont intacts alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres. Il a fallu une température énorme (2000°C) pour arriver à ce macabre résultat. Seul le plancher sous le buste de la victime révélera des traces d'incendie.
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Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autre n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteints. Une boîte d'allumettes est intacte sur le rebord de la fenêtre. L'électricité fonctionne correctement. Crime, suicide? Ces thèses sont écartées à défaut d'élément matériel pouvant les étayer.
Le parquet de Nancy ouvre une enquête et charge le capitaine Laurain d'une expertise. Ce dernier reprend toutes les hypothèses : explosion d'une bombe aérosol ou d'un gaz (mais l'embrasement du mobilier aurait alors été total), crime (mais la porte de l'appartement était fermée de l'intérieur), foudre (la météo invalidera cette possibilité). L'expert doit admettre qu'il s'agit bien là d'un cas de combustion spontanée. En conséquence, le 18 janvier 1978, le parquet de Nancy prononcera une ordonnance de non-lieu dans cette affaire.
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Certains cas se sont produit en public. En 1938 une jeune fille prit feu et mourut dans une salle de bal à Chelmsford en Angleterre et en 1980 une autre jeune anglaise brûla dans une discothèque à Darlington. Il y a même des personnes qui survivent à de telles expériences. Comme Jack Angel qui s'endormi en novembre 1974 et se réveilla 4 jours plus tard avec sa main droite brûlé et noirâtre. Il avait aussi des traces de brûlures sur la poitrine, les jambes et le dos mais curieusement il ne ressentait aucune douleur. Il s écroula devant sa caravane et fut transféré à l'hôpital ou on du lui amputer la main. Les médecins déclarèrent qu'il avait comme brûlé de l'intérieur.
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La propriétaire apporta un télégramme à la porte de l'appartement de Mrs. Reeser à Saint Petersburg en Floride. Elle cogna trois fois et attendit. Pas de réponse, elle cogna de nouveau. Toujours sans réponse, elle essaya d'ouvrir la porte. La poignée de la serrure était chaude, ce qui lui rappela la légère odeur de fumée qu'elle avait remarquée un peu plus tôt. Mais l'odeur avait disparu, et elle n'avait donc pas appelé les pompiers. Après avoir encore cogné plusieurs fois, elle appela la police, qui arriva et enfonça la porte. Une vision incroyable les attendait dans l'appartement de Mrs Reeser.
Au milieu du salon, un gros fauteuil rembourré avait brûlé jusqu'à ses ressorts métalliques, il y avait un peu de suie au plafond et le tapis était brûlé autour du fauteuil ; à part cela, le feu avait été sans importance. Mais pas de Mrs. Reeser dans l'appartement. En avançant jusqu'au fauteuil, la police découvrit ce qui en restait. Sa tète était là, complètement carbonisée et réduite à la dimension d'une balle de tennis. Elle trouva aussi un fragment de sa colonne vertébrale et un petit morceau d'un pied. C'était tout, sauf quelques cendres grises autour du fauteuil. Le coroner fut stupéfait par cette découverte étrange.
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On fit appel au docteur Wilton Krogman, spécialiste très connu de la mort par le feu, à l'Ecole de médecine de l'Etat de Pennsylvanie, qui était en vacances dans les environs. " C'est la chose la plus stupéfiante que j'ai jamais vue " dit-il. " Je ne peux pas imaginer une crémation aussi complète sans plus de dommages à l'appartement lui-même. Je n'ai jamais vu non plus de crâne humain ainsi réduit par une chaleur intense."
Le contraire a toujours été vrai : les crânes ont soit anormalement grossi soit virtuellement explosé en cent morceaux. La police pensa au suicide, l'accident et le crime, mais sans trouver aucun motif. Il n'existait pas de moyen connu par lequel Mrs. Reeser aurait pu être tuée de la sorte. Il faut une chaleur de prés de 2500 degrés et environ trois heures pour consumer un corps humain à ce point.
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Dans l'affaire de Mary Reeser, des experts en pyromanie, des pathologistes et même des agents du FBI furent appelés à la rescousse pour mener l'enquête. Mais aucun d'eux ne pu expliquer pourquoi le corps fut entièrement désintégré ainsi que les os. Seuls ont subsisté un crâne brûlé, quelques vertèbres, et un pied qui portait encore une pantoufle. La pièce était complètement intacte et le fauteuil fondu. La mort accidentelle fut déclarée cause de l'accident. Pourtant les faits ne concordent pas avec cette affirmation. En effet, pour réduire des os en cendres, il faut une température d'au moins 1650° C, ce qu'un simple incendie de fauteuil ou de vêtement est incapable de produire. D'autre part, une telle température aurait entraîné la combustion de toute la maison. La quantité de suie dégagée montre que le feu qui a consumé Mrs Reeser l'a fait lentement.
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A Londres ( Angleterre), le pompier Jack Stacey fut appelé pour un incendie dans une maison abandonnée. Quand il arriva sur les lieux, il vit que le bâtiment lui-même ne présentait aucun signe de dégâts causés par le feu, mais lorsqu'il pénétra à l'intérieur de la maison, Stacey trouva un corps en train de brûler, celui d'un sans domicile fixe connu sous le nom de Bailey.
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A l'agonie, Bailey avait mordu à pleines dents la rampe de l'escalier, ce qui indique qu'il était vivant lors du déclenchement de la combustion. Les pompiers durent écarter ses mâchoires à l'aide d'une barre de fer!
"Il avait une fente d'environ 10 cm au milieu de l'abdomen", se rappelle Stacey. « Des flammes en sortaient avec la force d'un chalumeau, » Pour tenter, selon ses propres termes, d'éteindre l'incendie " à la source ", Stacey plaqua directement la lance d'incendie sur le ventre du pauvre hère.
Pour le pompier, il ne faisait aucun doute que les flammes s'étaient déclarées à l'intérieur même du corps. L'origine de "l'incendie" n'a jamais été précisée. Il n'y avait, à proximité, pas de branchement de gaz ou d'électricité, ni même d'allumettes.
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Si la victime avait laissé tomber une cigarette incandescente sur son ventre, des expériences menées par la suite démontrèrent que ça n'aurait pas suffi à produire un feu d'une telle puissance.
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Le soir de Noël 1885, Patrick Rooney, sa femme et leur domestique John Larson, burent du whisky dans la cuisine. Larson alla ensuite se coucher et se réveilla le matin de Noël avec la migraine. En bas, dans la cuisine, il trouva tout recouvert d'une pellicule huileuse, et sur le sol, Patrick Rooney, mort. Lamon prit son cheval et galopa prévenir le fils de Rooney, John, qui habitait prés de là. Revenus à la ferme, les deux hommes remarquèrent un trou carbonisé prés de la table de cuisine. En regardant dans l'excavation, ils trouvèrent sur la terre, en dessous du plancher de la cuisine, un crâne calciné, quelques os brûlés et un petit tas de cendres. Le coroner jugea que Patrick était mort par asphyxie provoquée par la fumée du corps de sa femme qui brûlait. Le jury ne rendit aucun verdict. Mrs. Rooney avait disparu dans un feu d'une chaleur fantastique qui ne s'était pas étendu au-delà de ses alentours immédiats. Cela dépassait la compréhension de ce jury de fermiers du Middle West du XIXème siècle.
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PETIT GUIDE SUR LES FANTÔMES
18/04/2008 04:18
PETIT GUIDE SUR LES FANTÔMES Qu'est-ce qu'un fantôme exactement?
Le fantôme est une entité de couleur blanche ou transparente. Il serait immatériel et passe-muraille, c'est-à-dire qu'il peut passer au travers des murs (c'est d'ailleurs là l'un de ses tours favoris). On le représente (ou le représentait) volontiers couvert d'un drap blanc, ou d'un linceul et parfois lesté de chaînes auxquelles se trouvaient attachés des boulets. Le fantôme étant une représentation symbolique de l'apparition d'une personne défunte, peut revêtir plusieurs aspects légèrement différents tout en conservant la même dénomination.
L'étude et l'observation des fantômes permettent de les définir comme provenant de la matérialisation (focalisation, visualisation) de personnes décédées, le plus souvent dans des conditions ou événements tragiques (mort violente ou à la suite de grandes peines - décès inopinés, contre le cours des choses, ou alors qu'une tâche terrestre n'avait pas été accomplie ou pas complètement, ou encore le décès provient-il d'un châtiment).
Les expériences post-mortem du docteur Raymond Moody sur les décès cliniques suivis de retour à la vie ou New dead expérience (NDE) font état d'une connaissance communicable a posteriori de faits survenus alors que le sujet était tenu pour mort. Il y est question d'aura, de long tunnel, de lumière blanche, de sentiments. Nous n'allons pas épiloguer sur ce sujet qui fera l'objet d'un autre dossier mais relever le fait qu'il est actuellement tenu pour plausible que le corps humain ne se compose pas uniquement de son enveloppe charnelle mais également d'une entité parallèle, relativement indépendante et que la destruction (la mort) de l'un n'entraîne pas forcément celle de l'autre ou en tous cas, pas de manière absolument simultanée.
Dans les religions il est question de dissociation du corps et de l'âme, du jugement de celle-ci ainsi que de son caractère immortel. Il ne faudrait toutefois pas conclure hâtivement en prétendant que l'existence éventuelle des fantômes serait subordonnée aux convictions philosophiques. Nonobstant l'existence d'une entité supérieure ou être suprême que les croyants appelleront "Dieu", un athée pourrait tout à fait générer un fantôme. Il s'agit, dans notre optique, d'une nouvelle question de terminologie puisque le terme "fantôme" sera simplement remplacé par celui de "aura". On accréditera encore la thèse en stipulant que l'existence de l'aura est actuellement de moins en moins sujette à caution, d'autant plus qu'il est relativement facile, même au commun des mortels, d'apercevoir sa propre aura, ou tout du moins une ébauche visuelle déductive de celle-ci.
L'histoire selon laquelle les fantômes seraient des morts qui "reviennent" (des revenants) ne serait pas forcément aussi légendaire. Nous en sommes seulement aux balbutiements en matière de connaissance de l'aura, mais il y a des interactions entre l'apparence de celle-ci et l'état ou la santé du corps. Il est donc facile d'extrapoler et d'appliquer cette hypothèse au domaine des fantômes.
I faut quand même expédier les boulets au rayon des simples symboles de la détresse des personnages impliqués. Ainsi telle ou telle dame défunte, revenant hanter telle demeure, sera considérée comme "portant un boulet" car un insurmontable chagrin d'amour déçu fut la cause de son décès. Le drap ou le linceul, qui accompagne effectivement le mort dans ses derniers instants n'est pas réellement porté par le fantôme au gré de ses pérégrinations. On dispose effectivement de photos très parlantes pour étayer ce que nous avançons ici, à savoir que l'aura d'un défunt n'est jamais porteuse d'un contour bien délimité. Certes, elle prend plus ou moins la forme globale de l'être humain qui la contenait, mais, nous l'avons dit, il y a des zones de flou, des parties plus ou moins "vaporeuses" qu'une obscurité relative, un certain éclairage diffus, une apparition furtive peuvent faire assimiler au port d'un drap. Ces deux explications (pour les boulets et les draps) permettent à nouveau aux fantômes de conserver leur caractéristique de passe-murailles sans problème de logique.
Prétendre que les fantômes peuvent passer au travers des murs est un peu abusif. Retenir un fantôme avec les obstacles traditionnels rencontrés dans une maison (murs, meubles, etc.) reste difficile. En effet, l'aura est un "corps" intangible et peut-être impondérable. Durant la vie de l'enveloppe humaine, l'aura n'est contenue que par affinité et symbiose, simplement parce que les deux vont ensemble. La juxtaposition n'est d'ailleurs pas forcément systématique dans tous les cas et il existe des cas de dissociations temporaires, provoquées ou accidentelles, durant la vie de l'individu. On pourrait presque la qualifier d'organe parallèle qui répond à des lois naturelles différentes selon le stade d'évolution vitale du sujet. Donc, l'aura n'est pas nécessairement soumise aux lois de la pesanteur, sauf si elle demeure en alter-ego au corps, pour et par ce dernier. Les mécanismes qui gèrent cette entente ou la placent en aparté ne sont pas encore bien connus. On peut aussi considérer que le volume de l'aura est variable et que celle-ci occupe un espace total à peu près égal à celui de l'enveloppe durant son vivant et ce pour des raisons fonctionnelles. Une fois privée de la symbiose, l'aura peut alors évoluer à son gré, en expansion ou en diminution et se jouer efficacement et rapidement des obstacles. Il lui suffit de passer au dessus ou de profiter du moindre interstice. La manoeuvre étant quasiment instantanée, l'observateur déjà désemparé par une apparition qu'il ne comprend pas car elle échappe à son entendement (ses connaissances) n'y voit que du feu et a l'impression que le "fantôme" est passé au travers du mur alors qu'il n'est passé que par le trou de la serrure, par exemple. On peut envisager d'autres explications beaucoup plus compliquées, grâce à la physique quantique notament ...
Les fantômes sembleraient rencontrer de gros problèmes à franchir une porte seulement entr'ouverte. On dit aussi que les fantômes ont peur des miroirs, ceserait simplement un malheureux amalgame avec les vampires. Pour ce qui est de la porte entr'ouverte, on peut supposer que les battements de celle-ci en cas de vent par exemple risque de mettre à mal l'entité énergétique de l'aura. Dans certains cas, les fantômes auraient-ils donc peur de... se blesser?
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LES DAMES BLANCHES
18/04/2008 04:23
LES DAMES BLANCHES Une figure classique d'être fantastique du folklore européen
Plusieurs thèses sont apparues concernant ses apparitions. Les psychologues parlent de visions épileptiques, voire d’hallucinations collectives si les témoins sont nombreux. Les sociologues parlent de légendes urbaines...
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Les dames blanches, ou grises se matérialisent toujours au même endroit. Elles tirent leur nom de leur vêtement ou de la lumière qui émane d'elles. Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits.
Les Dames blanches seraient des substitut à la vieille mythologie européenne des dames blanches, qui, elles aussi, apparaissent régulièrement, parfois sur des siècles, après être mortes de façon inattendu et soudaine. Maisdans la majorité des cas il ne s’agit pas de légendes. Il y a des témoins, des descriptions concordantes et souvent des dépositions en gendarmerie.
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Devant le flux croisant des témoignages, les gendarmeries ont reçu des directives spécifiques et traitent ces cas de manifestations comme les phénomènes de maisons hantés ou d’apparitions d’OVNI. Leur identité et la raison pour laquelle elles se montrent sont souvent connues des personnes qui les voient fréquemment. Les traits légendaires ou susceptibles d'être "tirés" vers le légendaire se perçoivent clairement.
L'apparition se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. Les lieux d'apparition sont situés près de croisements de routes et de ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'Ici-bas et l'Au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen".
Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture et parfois des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions.
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C’est toujours une mort violente qui semble conditionner le retour momentané des fantômes, comme si le processus de départ ne s’était pas déclenché. Certains parlent d’incorporations d’esprits sur le lieu du drame. Des parapsychologues avance la théorie selon laquelle ces êtres viendraient prévenir des accidents même si, parfois, on a au contraire constaté qu’ils les provoquaient !
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Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits. On constate aussi qu'il s'agit de femmes ou de jeunes filles, presque toujours vêtues de blanc.
Pourquoi ce costume ? On remarque que la plupart des auto-stoppeuses sont mortes au sortir de boites de nuit. Portent-elles encore les vêtements adaptés aux effets de la lumière noire des discothèques ?
Il faut cependant noter que, parfois, les stoppeuses sont en habit de cuir noir ou brun, casque au bras. Les dames blanches seraient des victimes d'un accident de moto.
Dans tout les cas, les revenantes ont été foudroyées par la mort, sans comprendre, et de là vient peut-être la persistance de leur présence sur les lieux, comme si elles flottaient, indécises, entre l'existence et le néant.
Jouent-elles un rôle préventif, tels des anges gardiens protégeant les vivants d'accidents de la route? Nous ne savons pas à quel monde elle appartiennent. Toutes les questions au sujet des dames blanches restent pour l'heure sans réponse.
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Une autre explication met en évidence le bilocation, c'est-à-dire un dédoublement de la personne. Ce dédoublement peut être matériel ou pseudo matériel et nous pourrions citer à ce propos les cas bien connus du Padre Pio, de Goethe et de Guy de Maupassant. Les dames blanches sont bienfaisantes et paisibles, cependant si on les fâche, elles vous lancent des pierres. Vêtues de blanc, elles appartiennent à la classe des fées.
On parle quelquefois de “dames rouges“ : il y en avait une qui habitait une grotte du vallon de la Creuse (Jura). Elle se faisait entendre par des cris plaintifs et pour effrayer les enfants du Jura qui n’étaient pas sages, on les menaçait de cette dame rouge!
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Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans vers 0h30, après s'être promené sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, aperçoivent sur le bord de la route, une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années portant un imperméable ainsi qu'un foulard blancs. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, concluent à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire. ( La Gazette de Montpellier, 21 juillet 1995).
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La légende se situe en hiver sur la route du col du Lautaret. L'histoire raconte l'étrange aventure survenue à de nombreuses personnes au coeur de la nuit et de la tourmente : alors qu'elles étaient concentrées sur la conduite de leur véhicule, une incroyable apparition les surprenait au détour d'un virage : une dame vêtue d'une robe et d'un châle dont la blancheur immaculée rappelait celle de la neige, faisait de l'auto-stop appuyée contre une paroi glacée.Troublés et peinés par l'apparent dénuement de cet étrange fantôme, nombreux sont ceux qui lui offraient l'hospitalité dans la réconfortante chaleur de leur voiture.Son visage était entièrement dissimulé par son châle et toutes les tentatives de conversation s'avéraient vaines : le curieux personnage gardait obstinément le silence ... Les automobilistes reprenaient alors leur conduite et la nécessité de se concentrer leur faisait momentanément oublier leur passagère ... Et le voyage se poursuivait toujours sans dommage. Arrivés à bon port, ils ne pouvaient que constater la disparition de la Dame ...Dans les auberges de la région, on raconte que la Dame Blanche du Lautaret protège les automobilistes qui la prennent à leur bord. Quant à ceux qui l'ignorent, leur voyage se poursuit au péril de leur vie. On raconte aussi que certains ont été internés en asile psychiatrique, à Laragne, pour avoir relaté cette histoire ...
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LA DAME BLANCHE DU C.H.U. DE CAEN |
La "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados) apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.
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L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...
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A Chapareillan (Isère) sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.
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Il est près de minuit. Michel, de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme de vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche très années 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.
A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stop, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à se remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, le temps qu'il a passé en compagnie de cet être venu d'ailleurs n'a pas excédé quelques minutes. Mais il est des apparitions plus longues !
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LES CHATEAUX HANTES
18/04/2008 04:26
LES CHATEAUX HANTES Lieux maudits ou habitent les revenants
Les fantômes élisent volontiers domicile dans de vieilles bâtisses lugubres et délabrées ou de grands châteaux qui, par la force des choses, deviennent vite abandonnés. Voilà autant de clichés contre lesquels il faut lutter car ils sont à classer au rayon des préjugés.On connaît en effet nombre de demeures parfaitement récentes, voire modernes, où l'on fait état d'apparitions très étranges à mettre en corrélation avec le monde des fantômes.
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Les fantômes sont en quelque sorte les "âmes" des défunts qui, le plus souvent, ont habité les lieux précédemment et qui ont connu une fin tragique ou bien qui n'ont pas pu terminer l'accomplissement d'une mission déterminée.
Dès lors, ces fantômes étaient présents alors que la demeure était encore habitée et donc, théoriquement en bon état. Ce sont les conséquences de la hantise, les préjudices éventuellement subis par les nouveaux habitants et tout l'inconfort relatif à ces phénomènes qui, en provoquant le départ des locataires, rendent les lieux finalement inhabités et, par conséquent, délabrés faute d'entretien. Il est assez logique de rencontrer plus de fantômes dans les châteaux puisque, ils ont abrité des chevaliers, des guerriers, des armées, qui ont repoussé des assauts sur leurs murailles, connu des sièges et des défaites.
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On peut supposer qu'avec un passé aussi chargé en événements belliqueux, on dispose aussi d'un gros quota de trépassés et donc de fantômes. De là à dire que les châteaux en question ont automatiquement été abandonnés par la suite, il existe quantité de châteaux hantés (ou réputés tels) en Ecosse et en Angleterre et parmi ceux-ci, quelques uns sont encore habités et entretenus. Plusieurs sont des mmusées ou deviennent une attraction grâce à son fantôme!
Ces châteaux reçoivent épisodiquement alors nombre de visites, on peut revoir la théorie de la "dangerosité" des fantômes! Par contre, depuis le temps que ces châteaux se visitent, si cela avait laissé de grosses quantités de gens sur leur faim, on peut supposer que, à la longue, cela aurait créé une telle contre-publicité aux châteaux hantés d'Ecosse, que ceux-ci ne se visiteraient désormais plus.
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POLTERGEISTS
18/04/2008 04:29
POLTERGEISTS Les esprits frappeurs
En allemand, le terme Poltergeist signifie " bruit de fantôme ". En effet, les expériences de Poltergeist sont souvent bruyantes cependant leurs sources ne sont pas des entités fantomatiques. La cause des phénomènes de Poltergeist est la plus part du temps due à une personne et quelques fois à un groupe de personnes. Les études depuis 1950 semblent démontrer que l’agent impliqué dans une situation de Poltergeist est souvent impliquée dans une situation psychophysiologique instable. Ils ont la fâcheuse propension à faire du bruit : tapage, bruits de percussion, chocs sonores, déplacement d'objets, soulèvement et projection.
L'esprit frappeur peu agir de jour là où les fantômes semblent appartenir plutôt à la nuit. L'activité d'un esprit frappeur est en général centrée sur tel individu plutôt que sur tel lieu. Les perturbations imputées aux esprits frappeurs commencent brutalement sans nul avertissement, durent de quelques jours à quelques années et cessent aussi brusquement et aussi mystérieusement qu'elles ont commencé. Le phénomène du poltergeist se produit généralement en présence d'adolescents de 12 à 16 ans, mais on ne sait absolument pas pourquoi.
Les avis sont fort partagés quant à la nature des esprits frappeurs et à la force qui préside à leurs apparitions. Le poltergeist est un puissant phénomène centré sur l'individu et dont le déclenchement peut se produire à l'intérieur du psychisme d'agents humains, communément défini comme étant la possession par le mal, comme la terrible histoire du jeune Roby de 13 ans qui en restera un exemple.
La fameuse affaire, portée à l'écran avec le succès que l'on connaît, de l'Exorciste, basée sur des faits authentiques mais beaucoup romancés, puisqu'on y retrouve tous les ingrédients, impressionnants à souhait.
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CARACTÉRISTIQUES DES PHÉNOMÈNES |
Déplacement des objets dans des directions inattendues; parfois, les objets peuvent traverser des cloisons, des murs, des toits sans endommager les surfaces. Le phénomène est parfois accompagné de baisse de température pouvant aller jusqu'à 10 degrés. Les objets peuvent dégager une certaine chaleur pouvant aller jusqu’à la brûlure. On a vu très peu de cas ou les témoins ont été victimes de blessures de la part des objets. Les phénomènes peuvent durer d’une heure à dix ans. Il semble que la distance soit un facteur important au niveau du déplacement des objets. Bases psychophysiques et énergétiques. Champ psi semblable à un maëlstrom.
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AMITYVILLE - LA MAISON DU DIABLE
18/04/2008 04:33
AMITYVILLE - LA MAISON DU DIABLE Histoire vraie tiré du livre, le film du même nom sort en 1979 et a un succès retentissant
Cette maison de style colonial à trois étages est située dans les quartiers aisés d'Amityville, Long Island, non loin de NewYork. Bien que les propriétaires suivants n'aient pas été gênés par des incidents inhabituels, les Lutz, eux, avaient déménagé au bout de vingt-huit jours. Ils auraient été chassés par des événements surnaturels, sous forme d'activité poltergeist et d'apparitions démoniaques.
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En 1977, dans son best-seller TheAmity-ville Horror: A True Story (Amityville, la maison du diable, livre épuisé en France), Jay Anson, depuis lors décédé, relate l'histoire terrifiante des Lutz. Tiré du livre, le film du même nom sort en 1979 et a un succès retentissant.
En dépit de la controverse, c'est une histoire effectivement terrible qui est à l'origine des affirmations selon lesquelles la maison serait hantée. Le 13 novembre 1974, Ronald DeFeo, vingt-quatre ans, abat dans la maison ses parents, ses deux frères et ses deux sœurs.
N'ayant pas réussi à convaincre les jurés qu'il avait obéi à l'injonction de voix lui intimant l'ordre de tuer, DeFeo est déclaré responsable de ses actes; inculpé d'homicide sous six chefs d'accusation, il est condamné à vingt-cinq ans de prison pour chacun d'entre eux.
Après cet épisode sanglant, la grande maison d'Océan Avenue est mise en vente à un prix dérisoire, George Lutz, propriétaire d'une compagnie de géomètres qui bat de l'aile, visite la propriété avec sa femme Kathy.
Malgré le passé macabre de la grande demeure, ils croient avoir trouvé la maison de leurs rêves et s'en portent acquéreurs...
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Les sceptiques affirment aujourd'hui que toute l'affaire n'était qu'un canular, une escroquerie perpétrée par les Lutz pour gagner de l'argent. Ceux qui croient à l'histoire disent au contraire que la thèse du canular n'a été élaborée que dans le but de décourager les hordes de curieux qui, après la sortie du livre et du film, sont venus en masse à Amityville pour jeter un coup d'œil sur l'attraction locale: la désormais célèbre "maison du diable" qui se dresse au numéro 112 d'Océan Avenue.
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Quand les Lutz emménagent avec leurs trois enfants le 18 décembre 1975, une des premières choses qu'ils font est de demander à un prêtre de bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre aurait entendu une voix forte, venue de nulle part, lui disant simplement : "Allez-vous en ! " Mais cet épisode troublant n'était, pour les Lutz, que le début d'une série d'événements bizarres. Selon le livre de Jay Anson Amityville, la maison du diable, la maison fut remplie d'une puanteur irrespirable et la porcelaine de la salle de bains fut tachée d'un dépôt noir résistant à tous les détergents. La maison fût également infestée de centaines de mouches alors qu'on était au cœur de l'hiver.
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Et il ne se passa pas longtemps avant que des manifestations plus graves encore ne se produisent. Un lion de céramique de plus d'un mètre de haut se mit à bouger tout seul. On trouva des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces menaient tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, "une force au-delà de celle d'un être humain". Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la "maison de leurs rêves" était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.
Kathy Lutz fut la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantaient la maison. Des bras invisibles l'enlaçaient; des êtres tentaient de la posséder. «Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. » Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant.
A la même période, George Lutz vécut à son tour des événements étranges. Il entendit une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son des instruments à vent. Il ne vit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée.Par-dessus le marché, les Lutz affirment qu'ils eurent plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestaient sous des formes très variées: «immense silhouette encapuchonnée de blanc», «démon cornu» ou encore «cochon diabolique» avec «deux yeux ardents ».
Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, eut lieu une nuit de début janvier. Cette nuit-là, George n'arrivait pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévilait dans les airs ! Plus horrible encoie : lors-qu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prit un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.
C'en était trop pour les Lutz. Ils quittèrent la maison le 14 janvier 1976. Mais, selon Thé Amityvüle Horror Part II , le cauchemar ne s'arrêta pas là. L'auteur du livre, John G. Jones, décrit la façon dont le Diable, resté «lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe» poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.
L'histoire d'Amityville allait être la source d'inspiration de nombreux auteurs de livres d'horreur dans les années 1980. La plupart se réclament de la pure fiction, mais quelques-uns prétendent raconter la «'vraie» histoire, Toutefois, dans leur grande majorité, les spécialistes du paranormal affirment qu'il n'y a )amais eu d'histoire «vraie». Selon eux. l'affaire des Lutz serait une pure fiction d'un bout à l'autre.
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Le docteur Stephen Kaplan, par exemple, directeur du Parapsychology Institute of America, a enquêté sur le cas pendant presque vingt ans avant d'écrire en 1995 Thé Amityville Horror Conspiracy (« La conspiration d'Amityville »,). Il en a conclu que l'histoire était «en grande partie imaginaire». Beaucoup d'autres spécialistes du paranormal n'ont pas mieux réussi dans la vérification des éléments de l'histoire.
Questionné, le prêtre qui était censé avoir «béni» la maison répondit qu'il n'était pas entré à l'intérieur. De plus, aucun ouvrier des environs ne se rappelait avoir réparé les dommages occasionnés au bâtiment par les «démons». Et aucune tempête de neige n'avait eu lieu à la date indiquée dans le livre, fait qui rendait improbables les traces de sabots fourchus inscrites «dans la neige».
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Bien qu'on ne mette pas en doute la sincérité des Lutz, leur première relation des événements était beaucoup moins impressionnante : ils y parlaient de sentiments et de sensations plus que de phénomènes physiques. De plus, on s'aperçut plus tard que l'avocat de Ronald DeFeo, William Weber, avait basé sa défense en appel sur «c'est la faute au diable» pour faire acquitter son client. Weber reconnut même qu'il avait aidé les Lutz à faire de leur histoire une histoire à sensation, pour prouver que n'importe qui vivant dans la maison d'Amityville pouvait subir l'influence de forces surnaturelles.
Malgré les preuves écrasantes en faveur d'une supercherie, Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; us furent remplis d'un sentiment d'« horreur absolue » en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des «milliers de points lumineux», ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.
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Pour les Wàrren, le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. La propriété aurait été autrefois un asile de fous pour les Amérindiens malades et mourants : « Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Wàrren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée. »
On ne saura probablement jamais ce qui s'est passé au 112 Océan Avenue. Les Cromarty, qui ont emménagé juste après les Lutz, affirment qu'aucun phénomène bizarre ne s'est produit. Ils ont même intenté un procès aux Lutz parce qu'ils étaient assaillis de curieux réclamant des visites guidées. Ils sont parvenus à un règlement à l'amiable. Son montant n'a pas été dévoilé.
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VAISSEAUX FANTÔMES
18/04/2008 04:37
VAISSEAUX FANTÔMES Une énigme qui n’a toujours pas été résolue
Aucune explication sérieuse explique ces abandons de navires. Avec les navires, l’absence totale de trace de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires et autres engins modernes connaissent encore ce type d’aventure.
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Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt.
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Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles.
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Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes. Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.
David Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires. Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel. Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille. Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les armateurs indiquent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. De plus, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes. La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.
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La légende du vaisseau fantôme, commandé par un "Hollandais volant" date du XVIIème siècle mais varie selon les versions. Dans l'une d'elles, le maître du navire le Hollandais est un capitaine nommé Barent Fokke qui vit à Amsterdam vers les années 1650. Ses colères et ses orgies sont célèbres auprès des marins, et son vaisseau est le plus rapide de tous il va d'Amsterdam à Batavia en trois mois, exploit exceptionnel à l'époque, qui ne peut s'expliquer, pour beaucoup, que par l'intervention du diable. Aussi, lorsqu'il disparaît en mer, une tradition naît qui lui fait parcourir à jamais les océans, maudit pour avoir passé un pacte semblable à celui de Faust. Dans d'autres versions, le triste héros de la légende est le capitaine Van der Staten, qui subit la même punition pour avoir appareillé un vendredi saint.
Mais la légende la plus répandue met en scène le capitaine Van der Decken. À bord de son vaisseau, celui-ci fait route depuis la Hollande vers les Indes orientales lorsqu'une violente tempête éclate au large du cap de Bonne-espérance. Follement confiant dans ses talents de navigateur, et en dépit des supplications de son équipage, Van der Decken défie alors avec arrogance le Tout-Puissant de le faire sombrer. Il échappe au naufrage, mais, en châtiment de son blasphème, il est condamné à naviguer éternellement sur les mers. Une histoire est colportée oralement pendant des siècles avant que le poète allemand Heinrich Heine, en 1830, n'en tire une oeuvre écrite ; le marin errant y est délivré de sa malédiction par l'amour d'un femme qui accepte de mourir pour lui permettre de trouver le repos. Et son navire aux voiles rouges est enfin englouti par les flots. Richard Wagner s'inspire du texte de cette histoire pour composer, en 1843, son opéra le Vaisseau fantôme.
Quelques réapparitions du Hollandais volant :
Le jeune duc d'York, le futur roi George V d'Angleterre, alors âgé de seize ans, navigue comme enseigne de la Royal Navy à bord de la Bacchante, qui fait le tour du monde. Dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouve au large des côtes australiennes, une lueur brille brusquement dans l'obscurité et, à 200 mètres environ, surgit un brick entouré d'un sinistre halo rougeâtre, qui vient couper la route au bateau. Les mâts et les vergues du vaisseau fantôme se détachent nettement sur cette étrange lumière phosphorescente. L'enseigne de quart est envoyé immédiatement sur le gaillard d'avant, mais le navire a déjà mystérieusement disparu dans la nuit claire et il n'aperçoit rien. Le duc d'York ainsi que douze autres membres de l'équipage sont les spectateurs incrédules de ce phénomène étrange. Le futur George V est persuadé avoir vu le célèbre Hollandais volant, même si le type du navire ne correspond pas vraiment. La nuit même, dit-on, le marin qui a aperçu le premier le navire spectral tombe d'un des mâts et se tue. Quelques semaines plus tard, l'amiral de la flotte décède. Pour certains, ces événements dramatiques seraient liés à la vision étrange qu'aucune explication rationnelle n'est parvenue jusqu'à présent à éclaircir.
La Naccante indique dans son journal de bord avoir rencontré le Hollandais volant : "A quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève offtcier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. reize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. e Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge."
En 1887, l'équipage du navire américain Orion, faisant route de San Francisco à la Chine, remarque un trois-mâts ancien éclairé par une étrange lumière blanche. Un instant, le vaisseau se rapproche, puis il disparaît soudainement au moment où les rayons de la lune sont voilés par des nuages. Il a toute sa toile, alors que souffle un vent très violent.
En 1939, un bateau semblable est aperçu de la terre ferme par une centaine de personnes se trouvant sur une plage d'Afrique du Sud, au Sud-est du Cap. Le navire, qui a toujours toutes ses voiles dehors, traverse la mer à vive allure bien qu'il n'y ait pas la moindre brise. Il s'évanouit mystérieusement en un instant.
En 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, on voit une antique silhouette s'approchant de la baie de la Table. Puis, ses apparitions se raréfient. L'ère des navires modernes semble lui avoir porté un coup fatal, comme à un certain romantisme de la mer.
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En 2004 un bombardier du type Lancaster de la 2ème guerre mondiale avait déjà été vu par des témoins et détecté au radar en 2004, puis à nouveau en 2006, aperçu à Bankfield (Grande Bretagne). De nombreux témoins ont vu ce bombardier de la deuxième guerre mondiale voler à basse altitude au-dessus d'une piste d'atterrissage de secours utilisée pendant la guerre. L'avion ne produisait aucun bruit (alors que le Lancaster fait un bruit infernal) et les témoins affirment qu'il ne s’agissait pas d'un avion de transport moderne.
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Le Lancaster est plus célèbre quadrimoteur de l'armée Britanique qui vola de 1941 à 1953. Parmi les témoins, un homme de 71 ans affirme bien connaître les avions et avoir reconnu le Lancaster.
On a montré aux témoins des images d'avions modernes de RAF de type "Hercules" et ils ont confirmé que ce n'était pas ce qu'ils avaient vu, faisant bien la différence avec le double aileron arrière du Lancasters et celui de l'Hercule. De plus la RAF n'a pas "droit de survol" à basse altitude au dessus des lieux denses d'habitations comme Barnoldswick. On a suggéré que ce pouvait être un vol de Lancaster organisé pour célébrer un événement commémoratif, mais il n'y a qu'un seul Lancaster en état de navigabilité en Europe et il n'a pas bougé de sa base de Coningsby dans la région de Lincolnshire.
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Rolls-Royce a confirmé que sa compagnie possédait encore des Spitfires (avions de type "chasseurs"), mais ils sont beaucoup plus petits que le Lancaster et leurs derniers vols dans la région de Barnoldswick date d'octobre 2004. Ce que les témoins ont vu ressemblait à une scène de la deuxième Guerre mondiale et un "ancien" s'est rappelé qu'un Lancaster avait fait ici un atterrissage d'urgence pendant la dernière guerre. M.Cooper qui enquête sur le dossier semble croire que les témoins sont tous "équilibrés" et crédibles; il invite n'importe qui, pouvant apporter toute autre lumière sur le mystère à le contacter.
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AUTRES VAISSEAUX FANTÔMES |
En 1812 le deux-mâts carré le Yarmouth a probablement fait naufrage alors qu'il revenait des Caraïbes. Il a tout simplement «disparu». Un an plus tard, la légende veut que le navire entra au port de Yarmouth et jeta l'ancre sur le quai. Les gens de cette ville furent stupéfaits par cette apparition du deux-mâts qu'ils croyaient perdu en mer. Quelques hommes de Yarmouth allèrent à la rencontre du bateau, mais le deux-mâts disparaissait aussitôt qu'on s'en approchait trop. On dit que cette apparition fantomatique du Yarmouth avait lieu à la même période chaque année, et qu'elle devenait de plus en plus faible, jusqu'en 1872, puis elle s'arrêta complètement.
En 1840, le navire français, la Rosalie est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.
En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.
En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.
En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivre.
En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS.
En 2006, le 10 janvier, la Chine avait signalé que six pilotes Chinois de l'Armée de l'Air avaient été témoin d'un vol non identifié d'avions "anachroniques" volant vers eux. La collision auvait été évitée de justesse car les systèmes de radar du contrôle de trafic aérien n'avait pas pu observer et/ou enregistrer la formation en question. M.Feng et ses équipiers pilotes étaient au-dessus de la mer de Bohai vers 21h00 (21.000 pieds) quand soudain une grande formation "non identifiée" d'avions anciens avaient surgit juste sur leur gauche à seulement 30 miles. M.Feng avait appelé immédiatement le centre de commande du trafic aérien qui avait répondu qu'aucun avion ne volait dans le secteur à ce moment-là. Quelques experts Chinois ont pensé que les équipages avaient été victimes d'une illusion...
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VAISSEAUX FANTÔMES
18/04/2008 04:37
VAISSEAUX FANTÔMES Une énigme qui n’a toujours pas été résolue
Aucune explication sérieuse explique ces abandons de navires. Avec les navires, l’absence totale de trace de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires et autres engins modernes connaissent encore ce type d’aventure.
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Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt.
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Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles.
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Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes. Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.
David Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires. Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel. Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille. Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les armateurs indiquent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. De plus, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes. La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.
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La légende du vaisseau fantôme, commandé par un "Hollandais volant" date du XVIIème siècle mais varie selon les versions. Dans l'une d'elles, le maître du navire le Hollandais est un capitaine nommé Barent Fokke qui vit à Amsterdam vers les années 1650. Ses colères et ses orgies sont célèbres auprès des marins, et son vaisseau est le plus rapide de tous il va d'Amsterdam à Batavia en trois mois, exploit exceptionnel à l'époque, qui ne peut s'expliquer, pour beaucoup, que par l'intervention du diable. Aussi, lorsqu'il disparaît en mer, une tradition naît qui lui fait parcourir à jamais les océans, maudit pour avoir passé un pacte semblable à celui de Faust. Dans d'autres versions, le triste héros de la légende est le capitaine Van der Staten, qui subit la même punition pour avoir appareillé un vendredi saint.
Mais la légende la plus répandue met en scène le capitaine Van der Decken. À bord de son vaisseau, celui-ci fait route depuis la Hollande vers les Indes orientales lorsqu'une violente tempête éclate au large du cap de Bonne-espérance. Follement confiant dans ses talents de navigateur, et en dépit des supplications de son équipage, Van der Decken défie alors avec arrogance le Tout-Puissant de le faire sombrer. Il échappe au naufrage, mais, en châtiment de son blasphème, il est condamné à naviguer éternellement sur les mers. Une histoire est colportée oralement pendant des siècles avant que le poète allemand Heinrich Heine, en 1830, n'en tire une oeuvre écrite ; le marin errant y est délivré de sa malédiction par l'amour d'un femme qui accepte de mourir pour lui permettre de trouver le repos. Et son navire aux voiles rouges est enfin englouti par les flots. Richard Wagner s'inspire du texte de cette histoire pour composer, en 1843, son opéra le Vaisseau fantôme.
Quelques réapparitions du Hollandais volant :
Le jeune duc d'York, le futur roi George V d'Angleterre, alors âgé de seize ans, navigue comme enseigne de la Royal Navy à bord de la Bacchante, qui fait le tour du monde. Dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouve au large des côtes australiennes, une lueur brille brusquement dans l'obscurité et, à 200 mètres environ, surgit un brick entouré d'un sinistre halo rougeâtre, qui vient couper la route au bateau. Les mâts et les vergues du vaisseau fantôme se détachent nettement sur cette étrange lumière phosphorescente. L'enseigne de quart est envoyé immédiatement sur le gaillard d'avant, mais le navire a déjà mystérieusement disparu dans la nuit claire et il n'aperçoit rien. Le duc d'York ainsi que douze autres membres de l'équipage sont les spectateurs incrédules de ce phénomène étrange. Le futur George V est persuadé avoir vu le célèbre Hollandais volant, même si le type du navire ne correspond pas vraiment. La nuit même, dit-on, le marin qui a aperçu le premier le navire spectral tombe d'un des mâts et se tue. Quelques semaines plus tard, l'amiral de la flotte décède. Pour certains, ces événements dramatiques seraient liés à la vision étrange qu'aucune explication rationnelle n'est parvenue jusqu'à présent à éclaircir.
La Naccante indique dans son journal de bord avoir rencontré le Hollandais volant : "A quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève offtcier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. reize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. e Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge."
En 1887, l'équipage du navire américain Orion, faisant route de San Francisco à la Chine, remarque un trois-mâts ancien éclairé par une étrange lumière blanche. Un instant, le vaisseau se rapproche, puis il disparaît soudainement au moment où les rayons de la lune sont voilés par des nuages. Il a toute sa toile, alors que souffle un vent très violent.
En 1939, un bateau semblable est aperçu de la terre ferme par une centaine de personnes se trouvant sur une plage d'Afrique du Sud, au Sud-est du Cap. Le navire, qui a toujours toutes ses voiles dehors, traverse la mer à vive allure bien qu'il n'y ait pas la moindre brise. Il s'évanouit mystérieusement en un instant.
En 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, on voit une antique silhouette s'approchant de la baie de la Table. Puis, ses apparitions se raréfient. L'ère des navires modernes semble lui avoir porté un coup fatal, comme à un certain romantisme de la mer.
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En 2004 un bombardier du type Lancaster de la 2ème guerre mondiale avait déjà été vu par des témoins et détecté au radar en 2004, puis à nouveau en 2006, aperçu à Bankfield (Grande Bretagne). De nombreux témoins ont vu ce bombardier de la deuxième guerre mondiale voler à basse altitude au-dessus d'une piste d'atterrissage de secours utilisée pendant la guerre. L'avion ne produisait aucun bruit (alors que le Lancaster fait un bruit infernal) et les témoins affirment qu'il ne s’agissait pas d'un avion de transport moderne.
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Le Lancaster est plus célèbre quadrimoteur de l'armée Britanique qui vola de 1941 à 1953. Parmi les témoins, un homme de 71 ans affirme bien connaître les avions et avoir reconnu le Lancaster.
On a montré aux témoins des images d'avions modernes de RAF de type "Hercules" et ils ont confirmé que ce n'était pas ce qu'ils avaient vu, faisant bien la différence avec le double aileron arrière du Lancasters et celui de l'Hercule. De plus la RAF n'a pas "droit de survol" à basse altitude au dessus des lieux denses d'habitations comme Barnoldswick. On a suggéré que ce pouvait être un vol de Lancaster organisé pour célébrer un événement commémoratif, mais il n'y a qu'un seul Lancaster en état de navigabilité en Europe et il n'a pas bougé de sa base de Coningsby dans la région de Lincolnshire.
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Rolls-Royce a confirmé que sa compagnie possédait encore des Spitfires (avions de type "chasseurs"), mais ils sont beaucoup plus petits que le Lancaster et leurs derniers vols dans la région de Barnoldswick date d'octobre 2004. Ce que les témoins ont vu ressemblait à une scène de la deuxième Guerre mondiale et un "ancien" s'est rappelé qu'un Lancaster avait fait ici un atterrissage d'urgence pendant la dernière guerre. M.Cooper qui enquête sur le dossier semble croire que les témoins sont tous "équilibrés" et crédibles; il invite n'importe qui, pouvant apporter toute autre lumière sur le mystère à le contacter.
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AUTRES VAISSEAUX FANTÔMES |
En 1812 le deux-mâts carré le Yarmouth a probablement fait naufrage alors qu'il revenait des Caraïbes. Il a tout simplement «disparu». Un an plus tard, la légende veut que le navire entra au port de Yarmouth et jeta l'ancre sur le quai. Les gens de cette ville furent stupéfaits par cette apparition du deux-mâts qu'ils croyaient perdu en mer. Quelques hommes de Yarmouth allèrent à la rencontre du bateau, mais le deux-mâts disparaissait aussitôt qu'on s'en approchait trop. On dit que cette apparition fantomatique du Yarmouth avait lieu à la même période chaque année, et qu'elle devenait de plus en plus faible, jusqu'en 1872, puis elle s'arrêta complètement.
En 1840, le navire français, la Rosalie est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.
En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.
En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.
En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivre.
En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS.
En 2006, le 10 janvier, la Chine avait signalé que six pilotes Chinois de l'Armée de l'Air avaient été témoin d'un vol non identifié d'avions "anachroniques" volant vers eux. La collision auvait été évitée de justesse car les systèmes de radar du contrôle de trafic aérien n'avait pas pu observer et/ou enregistrer la formation en question. M.Feng et ses équipiers pilotes étaient au-dessus de la mer de Bohai vers 21h00 (21.000 pieds) quand soudain une grande formation "non identifiée" d'avions anciens avaient surgit juste sur leur gauche à seulement 30 miles. M.Feng avait appelé immédiatement le centre de commande du trafic aérien qui avait répondu qu'aucun avion ne volait dans le secteur à ce moment-là. Quelques experts Chinois ont pensé que les équipages avaient été victimes d'une illusion...
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VAISSEAUX FANTÔMES
18/04/2008 04:38
VAISSEAUX FANTÔMES Une énigme qui n’a toujours pas été résolue
Aucune explication sérieuse explique ces abandons de navires. Avec les navires, l’absence totale de trace de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires et autres engins modernes connaissent encore ce type d’aventure.
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Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt.
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Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.
Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles.
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Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes. Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.
David Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires. Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel. Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille. Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les armateurs indiquent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. De plus, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.
Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes. La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.
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La légende du vaisseau fantôme, commandé par un "Hollandais volant" date du XVIIème siècle mais varie selon les versions. Dans l'une d'elles, le maître du navire le Hollandais est un capitaine nommé Barent Fokke qui vit à Amsterdam vers les années 1650. Ses colères et ses orgies sont célèbres auprès des marins, et son vaisseau est le plus rapide de tous il va d'Amsterdam à Batavia en trois mois, exploit exceptionnel à l'époque, qui ne peut s'expliquer, pour beaucoup, que par l'intervention du diable. Aussi, lorsqu'il disparaît en mer, une tradition naît qui lui fait parcourir à jamais les océans, maudit pour avoir passé un pacte semblable à celui de Faust. Dans d'autres versions, le triste héros de la légende est le capitaine Van der Staten, qui subit la même punition pour avoir appareillé un vendredi saint.
Mais la légende la plus répandue met en scène le capitaine Van der Decken. À bord de son vaisseau, celui-ci fait route depuis la Hollande vers les Indes orientales lorsqu'une violente tempête éclate au large du cap de Bonne-espérance. Follement confiant dans ses talents de navigateur, et en dépit des supplications de son équipage, Van der Decken défie alors avec arrogance le Tout-Puissant de le faire sombrer. Il échappe au naufrage, mais, en châtiment de son blasphème, il est condamné à naviguer éternellement sur les mers. Une histoire est colportée oralement pendant des siècles avant que le poète allemand Heinrich Heine, en 1830, n'en tire une oeuvre écrite ; le marin errant y est délivré de sa malédiction par l'amour d'un femme qui accepte de mourir pour lui permettre de trouver le repos. Et son navire aux voiles rouges est enfin englouti par les flots. Richard Wagner s'inspire du texte de cette histoire pour composer, en 1843, son opéra le Vaisseau fantôme.
Quelques réapparitions du Hollandais volant :
Le jeune duc d'York, le futur roi George V d'Angleterre, alors âgé de seize ans, navigue comme enseigne de la Royal Navy à bord de la Bacchante, qui fait le tour du monde. Dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouve au large des côtes australiennes, une lueur brille brusquement dans l'obscurité et, à 200 mètres environ, surgit un brick entouré d'un sinistre halo rougeâtre, qui vient couper la route au bateau. Les mâts et les vergues du vaisseau fantôme se détachent nettement sur cette étrange lumière phosphorescente. L'enseigne de quart est envoyé immédiatement sur le gaillard d'avant, mais le navire a déjà mystérieusement disparu dans la nuit claire et il n'aperçoit rien. Le duc d'York ainsi que douze autres membres de l'équipage sont les spectateurs incrédules de ce phénomène étrange. Le futur George V est persuadé avoir vu le célèbre Hollandais volant, même si le type du navire ne correspond pas vraiment. La nuit même, dit-on, le marin qui a aperçu le premier le navire spectral tombe d'un des mâts et se tue. Quelques semaines plus tard, l'amiral de la flotte décède. Pour certains, ces événements dramatiques seraient liés à la vision étrange qu'aucune explication rationnelle n'est parvenue jusqu'à présent à éclaircir.
La Naccante indique dans son journal de bord avoir rencontré le Hollandais volant : "A quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève offtcier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. reize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. e Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge."
En 1887, l'équipage du navire américain Orion, faisant route de San Francisco à la Chine, remarque un trois-mâts ancien éclairé par une étrange lumière blanche. Un instant, le vaisseau se rapproche, puis il disparaît soudainement au moment où les rayons de la lune sont voilés par des nuages. Il a toute sa toile, alors que souffle un vent très violent.
En 1939, un bateau semblable est aperçu de la terre ferme par une centaine de personnes se trouvant sur une plage d'Afrique du Sud, au Sud-est du Cap. Le navire, qui a toujours toutes ses voiles dehors, traverse la mer à vive allure bien qu'il n'y ait pas la moindre brise. Il s'évanouit mystérieusement en un instant.
En 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, on voit une antique silhouette s'approchant de la baie de la Table. Puis, ses apparitions se raréfient. L'ère des navires modernes semble lui avoir porté un coup fatal, comme à un certain romantisme de la mer.
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En 2004 un bombardier du type Lancaster de la 2ème guerre mondiale avait déjà été vu par des témoins et détecté au radar en 2004, puis à nouveau en 2006, aperçu à Bankfield (Grande Bretagne). De nombreux témoins ont vu ce bombardier de la deuxième guerre mondiale voler à basse altitude au-dessus d'une piste d'atterrissage de secours utilisée pendant la guerre. L'avion ne produisait aucun bruit (alors que le Lancaster fait un bruit infernal) et les témoins affirment qu'il ne s’agissait pas d'un avion de transport moderne.
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Le Lancaster est plus célèbre quadrimoteur de l'armée Britanique qui vola de 1941 à 1953. Parmi les témoins, un homme de 71 ans affirme bien connaître les avions et avoir reconnu le Lancaster.
On a montré aux témoins des images d'avions modernes de RAF de type "Hercules" et ils ont confirmé que ce n'était pas ce qu'ils avaient vu, faisant bien la différence avec le double aileron arrière du Lancasters et celui de l'Hercule. De plus la RAF n'a pas "droit de survol" à basse altitude au dessus des lieux denses d'habitations comme Barnoldswick. On a suggéré que ce pouvait être un vol de Lancaster organisé pour célébrer un événement commémoratif, mais il n'y a qu'un seul Lancaster en état de navigabilité en Europe et il n'a pas bougé de sa base de Coningsby dans la région de Lincolnshire.
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Rolls-Royce a confirmé que sa compagnie possédait encore des Spitfires (avions de type "chasseurs"), mais ils sont beaucoup plus petits que le Lancaster et leurs derniers vols dans la région de Barnoldswick date d'octobre 2004. Ce que les témoins ont vu ressemblait à une scène de la deuxième Guerre mondiale et un "ancien" s'est rappelé qu'un Lancaster avait fait ici un atterrissage d'urgence pendant la dernière guerre. M.Cooper qui enquête sur le dossier semble croire que les témoins sont tous "équilibrés" et crédibles; il invite n'importe qui, pouvant apporter toute autre lumière sur le mystère à le contacter.
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AUTRES VAISSEAUX FANTÔMES |
En 1812 le deux-mâts carré le Yarmouth a probablement fait naufrage alors qu'il revenait des Caraïbes. Il a tout simplement «disparu». Un an plus tard, la légende veut que le navire entra au port de Yarmouth et jeta l'ancre sur le quai. Les gens de cette ville furent stupéfaits par cette apparition du deux-mâts qu'ils croyaient perdu en mer. Quelques hommes de Yarmouth allèrent à la rencontre du bateau, mais le deux-mâts disparaissait aussitôt qu'on s'en approchait trop. On dit que cette apparition fantomatique du Yarmouth avait lieu à la même période chaque année, et qu'elle devenait de plus en plus faible, jusqu'en 1872, puis elle s'arrêta complètement.
En 1840, le navire français, la Rosalie est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.
En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.
En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.
En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivre.
En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS.
En 2006, le 10 janvier, la Chine avait signalé que six pilotes Chinois de l'Armée de l'Air avaient été témoin d'un vol non identifié d'avions "anachroniques" volant vers eux. La collision auvait été évitée de justesse car les systèmes de radar du contrôle de trafic aérien n'avait pas pu observer et/ou enregistrer la formation en question. M.Feng et ses équipiers pilotes étaient au-dessus de la mer de Bohai vers 21h00 (21.000 pieds) quand soudain une grande formation "non identifiée" d'avions anciens avaient surgit juste sur leur gauche à seulement 30 miles. M.Feng avait appelé immédiatement le centre de commande du trafic aérien qui avait répondu qu'aucun avion ne volait dans le secteur à ce moment-là. Quelques experts Chinois ont pensé que les équipages avaient été victimes d'une illusion...
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LE CHUPACABRA
18/04/2008 04:41
LE CHUPACABRA Un mi-humain, mi-bête vampire
Le Chupacabra, ou Goatsucker, est une créature dont on entend parler que depuis 1995 à Porto Rico. Quelque chose d’étrange tuait le bétail, suçant leur sang. C’est de là que vient son nom Goatsucker (suceur de chèvre). On n’a cependant jamais rapporté de Chupacabra ayant attaqué l’homme. mais personne n’est vraiment sûr que cela n’arrivera pas.Mais depuis quelques temps de plus en plus d'attaquent que ce soit sur le betail ou bien sur les chiens et les lapins sont declarees par beaucoup de personnes.
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Les témoins décrivent la bête comme étant une créature ressemblant à une sorte de kangourou avec des yeux rouges malfaisants.
Plusieurs théories plus ou moins ont été établie pour expliquer son existence. Pour certain, il s’agirait d’une bête provenant d’une autre galaxie que les extra-terrestres auraient par mégarde oublié sur l’île lors de leur passage.
Pour d’autre, il s’agirait plutôt d’un mi-humain, mi-bête vampire qui terroriserait les animaux de la ferme. La vrai réponse nous proviendra sûrement lorsqu’on en aura capturé un. Une photo circulant sur internet est très certainement un faux. Les témoins déclarent que les reproductions d'artistes,telle celle produite par Jorge Martin donnent en revanche une véritable image de la bete. C'est en se fondant sur les récits de témoins oculaires qu'il a été possible d'en réaliser des dessins réalistes.
Les chiliens pensent que la NASA a crée les Chupacabras : "Les gringos ont fait trois expériences génétiques qui se sont enfuies et ils n'ont rattraper que seulement deux.d'entres elles " déclare Dagoberto Corante, un architecte Chilien. Les habitants de la ville de Calama et des communautés proches( au nord du Chili) blâment la NASA,l'Agence Gouvernementale Américaine, pour les apparitions et les attaques des mystérieux Chupacabras, lesquels ont causé la ruine a travers les animaux de fermes de la région et d'autres endroits du Chili. Une enquête, ordonnée par les autorités, a conclu que les blessures étaient provoquées par des attaques de chiens sauvages, mais personne ne croit ceci.
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En attendant, de nouvelles attaques de chupacabras ont eu lieu dans différentes parties du centre et du sud du chili. D'après Dagoberto Corante, une telle créature a été capturée par des éléments d'un régiment local lors d'une opération et ceci a eu comme résultat la mort d'un soldat. Mais les militaires ont refusé de parler sur ce sujet.
Un membre de l'armée US parle des chupacabras et des humanoïdes capturés en 1960 : "Nous avons récemment été contactés par une source qui préfère rester anonyme, pour des raisons liées a sa propre sécurité, et qui nous a donné une certaine information liant, apparemment, le mystérieux chupacabra, qui harcèlent actuellement Porto Rico, et Roswell ! Cette personne nous a approché par l'intermédiaire de canal Notiuno a 22h30, le jeudi. Employant le pseudonyme de "Don Ernesto ",cet officier américain, maintenant âgé de 70 ans, nous a dit ce qu'il savait à propos des chupacabas, lesquels, a t'il dit, étaient liés avec le phénomène ovni mais n'étaient pas agressifs envers les humains ! Au début, il a été extrêmement précautionneux dans son approche, disant qu'il avait travaillé pour les renseignements américains sur des sujets très délicats et que si son contact avec nous était découvert, il serait dans une situation très difficile ".
Finalement, après des contacts indirects, nous avons été capables de le rencontrer sur une place publique de notre capital, San Juan, ou ses révélations ont commencé. Parlant avec une grande prudence, et choisissant prudemment ses mots, il fut capable de nous satisfaire sur son identité et sur la nature de ses anciens services. Il a commencé comme suit, "J'écoute vos programmes depuis quelques temps et j'ai pu voir que vous êtes un brave homme, il y a beaucoup de danger dans toute cette affaire des ovnis et je vois que vous êtes le seul ayant l'audace de parler des choses. Mais vous devez être très très prudent. Il y a certaines parties du Gouvernement qui ne veulent pas que ce genre de choses soient connues. Je le sais parce que j'ai travaillé moi-même dans les renseignements militaires, avec un très haut niveau de sécurité. J'ai été impliqué dans certaines choses et j'en sais plus que je ne devrais et dont je ne peux discuter avec vous. " Ses traits, alors qu'il parlait, étaient graves et pensifs, et je peux seulement dire que si ce qu'il m'a dit était un canular, il est un très bon acteur. Il en est arrivé à dire que toute l'affaire des ovnis était maintenant salement hors contrôle et avait crée un climat d'hystérie, et que certaines déclarations du gouvernement US avaient fait long feu et que c'était aussi l'opinion de certains de ses collègues. Plus particulièrement, il était effrayé par la panique générale a Porto Rico a propos des chupacabras, lesquels, a t'il dit, n'étaient pas un danger pour les humains, pas plus pour les adultes que pour les enfants. Nous lui avons demandé comment il savait ceci et il a dit qu'il le savait parce qu'il les avait vus, que les créatures étaient extraterrestres et que le gouvernement américain était pleinement au courant de tout ceci. Il a dit que sa connaissance initiale de ces sujets s'était faite en 1960, et voici ses mots : "Je me trouvais à Fort Sill dans l'Oklahoma. Moi et une autre personne étions à bord d'un avion, et nous allions à la base de Roswell, Nouveau Mexique. A Roswell, nous avons vu des créatures dans des sortes de cages. Je ne sais pas si nous étions exactement dans la base de Roswell, mais de toute façon, c'était proche. ( a propos de l'accident supposé de Roswell en 1947, je ne sais rien car cela c'est passé il y a 13 ans). " Une des entités que j'ai vu était similaire a celle montrée plus tard dans le téléfilm sur le crash de Roswell, toutefois, certaines de ses caractéristiques étaient différentes. Quand je lui ai demandé en quoi les détails différés, il a répondu que ce qu'il avait vu dans la cage a Roswell était " plus grand, environ 1.8 mètres, avec de très minces oreilles, comme les humains. Elle avait des cheveux très fins, comme du duvet. Et elle avait un regard gentil, avec l'air malade, des yeux désespérés, comme perdus, un étranger demandant quelque chose, ou attendant de parler, mais avec personne pour le comprendre. "
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