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LE MONSTRE DU LOCH NESS
18/04/2008 04:45
LE MONSTRE DU LOCH NESS Nessis fait les bonheurs de la presse à sensation du monde entier
De nombreuses photos sont prises du monstre, mais elles sont le plus souvent démontrées comme étant fausse. Une équipe tentera prochainement d'étudier les restes organiques qui reposent sur le fond du Loch Ness ou du Loch Morar.
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Personne n'a pu démontrer ou apporter de preuves irréfutables de l'existence d'un tel animal dans les profondeurs du lac du Loch Ness, une mystérieuse créature dont les contes parlent depuis des millénaires.
Le Loch Ness est un lac qui se trouve à 150 Km au nord de Glasgow et dans la région des Highlands. Fort Augustus et Inverness sont les villes qui l’entourent. Avec 40 Km de long, 2 Km de large et 230 m de profondeur, le Loch Ness est le plus vaste plan d'eau douce de Grande-Bretagne et donc d'écosse. Loch, en écossais, signifie "lac". Celui-ci est situé sur le Great Glen, une faille de l'écorce terrestre qui traverse le cœur de l'Écosse.
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La région qui l'entoure est encore relativement peu explorée, tandis que, sous l'eau, la visibilité est très réduite à cause des particules de tourbe en suspension. Le Loch Ness est caractérisé par sa remarquable stabilité thermique : la température générale de ses eaux ne varie guère de plus d'un demi degré tout au cours de l'année. En moyenne, les eaux du lac sont à 5,5 °C.
En été, les eaux de surface peuvent monter jusqu'à 12°C. Le lac, qui est à 16 m au-dessus du niveau de la mer, communique avec celle-ci par la rivière Ness. Il y a dix mille ans, quand les glaciers recouvraient l'Écosse, la faille du Loch Ness devait communiquer avec la mer. Une fois le poids de ces glaciers disparu, le sol s'est soulevé de 16 m, isolant les eaux du lac.
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Les animaux qui y vivent ne sont donc là que depuis moins de dix mille ans. Les légendes des peuples du Nord sont peuplées de monstres marins et beaucoup font référence à une créature au dos bombé et au long cou. C'est probablement en leur honneur que les Vikings ornaient de " dragons de mer " la proue de leurs drakkars. En Scandinavie, autour du lac de Storsjö, on peut encore voir le matériel mis en place au XIXe siècle pour capturer un monstre local. En Irlande, on parle beaucoup des " kelpies " les " chevaux de mer "dans la région des loughs du Connemara.
Le premier rapport qui relate une apparition sur la rivière Ness date de 565 de notre ère, curieusement, on ne s'est intéressé que très récemment au "monstre" du Loch Ness. Dans ce premier rapport, c'est un saint qui met le monstre en fuite. Par la suite, les témoignages sur le monstre restent liés à des superstitions locales.
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Au XIXe siècle, les aristocrates qui viennent chasser dans les Highlands entendent parler des fabuleuses créatures des lochs. Certains en aperçoivent même, au lever du jour, et leur trouvent une " tête de cheval ". Dans le même temps, les marins rapportent l'existence de " monstres marins " identiques à ceux des lochs. On interdisait alors aux enfants de se baigner dans le Loch Ness, par crainte du kelpie.
En 1933, une route touristique est construite sur la rive nord du lac. Aussitôt, les touristes se mettent à affluer dans la région et le nombre de ceux qui ont "vu" le monstre grimpe en flèche. Le premier grand article sur le sujet paraît le 14 avril 1933, dans " l'Inverness Courrier ". Rapidement, la " bête du Loch Ness " devient un sujet de curiosité journalistique, qui fait les bonheurs de la presse à sensation du monde entier.
A l'époque, le sonar et le scaphandre autonome n'existent pas encore. Les biologistes se contentent d'études sur les petits animaux et les algues microscopiques du lac. Mais, déjà, on cherche par tous les moyens à s'assurer de l'existence, ou de l'absence d'animal fabuleux dans ces eaux tourbeuses.
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On filme, on photographie et les archives se remplissent de témoignages plus ou moins intéressants, tandis qu'une foule de curieux guette avec avidité la moindre manifestation inhabituelle à la surface du Loch Ness. Au Loch Ness Investigation Bureau, des milliers de témoignages oculaires troublants ont été enregistrés. Beaucoup sont extraordinairement détaillés : la créature aperçue aurait un long cou, parfois dressé, des bosses sur le dos, et elle se déplacerait assez rapidement.
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PHOTOS ET FILMS DE NESSIE |
De nombreuses photos sont prises du monstre, mais elles sont le plus souvent démontrées comme étant fausse. Les films de cinéma sont beaucoup plus difficiles à truquer et sont davantage pris en compte. Deux d'entre eux sortent vraiment de l'ordinaire :
Le premier a été tourné par Tim Dindsdale, le 23 avril l960, à l'embouchure de la rivière Foyers. On y voit une bosse se mouvoir lentement au loin, puis traverser le champ de la caméra avant de plonger. L'analyse du film a conclu que l'objet filmé était "probablement en mouvement" et qu'il mesurait environ l,70 m de largeur. Sa vitesse estimée était de l6 km à l'heure.
Le second film a été tourné par Richard Raynor, le 13 juin 1967, à l'extrémité nord du lac. Il montre un sillage, à la tête duquel on aperçoit parfois un objet solide, déclaré lui aussi animé. Richard Raynor a expliqué que l'animal filmé évoquait pour lui une espèce d'otarie. Comme la longueur estimée de la partie qui émergeait a été évaluée à près de 2 m, on peut rêver sur la taille de l'otarie en question.
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Le sonar est aussi employé, cet appareil mis au point pendant la seconde guerre mondiale permettra la détection à plusieurs reprise de masse dans l'eau, sans donner une véritable preuve de l'existence d'un éventuel "monstre". Ils peuvent enregistrer des échos produits par de simples gros poissons, des troncs d'arbre qui flottent entre deux eaux, des bulles de gaz sécrétées par des détritus en décomposition ou des masses d'eau dont la température ( et donc la densité ) diffère de la température ambiante.
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Dès 1964, une équipe d'Oxford et de Cambridge obtient un écho particulier, bien plus fort qu'un écho produit par des saumons. Trois bateaux se mettent aussitôt en chasse le long du Loch Ness et tentent de détecter la créature susceptible de renvoyer un tel écho. Ils auront de nombreux " contacts ", mais ne parviendront pas à identifier la source de leur écho.
En 1968, sous la direction du professeur D.G. Tucker, un groupe de chercheurs de l'université de Birmingham débarque sur les rives du Loch Ness avec un sonar digital automatique.
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Le 28 août, un objet qui se déplace à l2 km/h est repéré sur le fond du lac. Un peu plus tard, un autre écho donne une vitesse de 25 km/h : manifestement, il ne s'agit ni d'un banc de poissons ni d'un gros poisson isolé.
La seule conclusion tirée des explorations au sonar tient en une phrase : il y a, dans le lac, une ou plusieurs créatures vivantes, plus grandes que des saumons, dont les mouvements sont différents de ceux des poissons, surtout en plongée.
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En 1968, le Viperfish, le petit sous-marin privé de l'américain Dan Taylor, se lance à son tour dans le lac. Son propriétaire, en plus des recherches au sonar, a prévu de lancer des fléchettes sur le " monstre ", pour lui prélever des échantillons de peau. Son rêve est de permettre un premier classement de l'animal dans un cadre zoologique précis. Dans les eaux tourbeuses du lac, le petit engin ne sera pas d'une très grande utilité.
Près du Loch Ness, le Loch Morar est, lui aussi, hanté par un "monstre". Heureusement, ses eaux sont plus claires. C'est donc dans le Loch Morar que des chercheurs installent, en l974, une chambre d'observation directe sous-marine, plus connue sous le nom de Machan. Une équipe y prend place, rapidement relayée par un système de caméras de télévision commandé de la surface. Rien de ce qui se passe au fond ne doit échapper a priori à l'œil des caméras, Celles-ci permettent d'identifier avec beaucoup de précision tout ce qui bouge sous l'eau : un film est toujours plus précis qu'une photographie. Il n'est cependant rien sorti des caméras placées dans le Machan.
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CONCLUSIONS ET HYPOTHESES |
Une équipe tentera prochainement d'étudier les restes organiques qui reposent sur le fond du Loch Ness ou du Loch Morar. Des essais de dragage ont déjà commencé. Si le Loch Ness abrite des "monstres" depuis plusieurs milliers d'années, on devrait finir par trouver leur carcasse au fond ! A moins que le lac ne soit communiquant avec ma mer et simplement un lieu de passage pour " Nessie ". Peut-être simplement pour se reproduire. Ce qui aiderait à résoudre l'énigme essentielle de ce sombre lac écossais : quelle est la créature qui s'y cache ? La réponse (s'il y en a une) ne pourra être donnée qu'au terme d'une enquête rigoureuse, ayant fait appel à la zoologie, à la paléontologie, à la biologie et à cette pointe de bon sens et d'intuition qui fait avancer la science.
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Définir " Nessie " comme un prédateur marin adapté à l'eau douce et aux saumons reste un peu court. Les zoologues n'ont prévu aucune catégorie précise et ses caractéristiques supposées font de lui un véritable animal fabuleux. Le plus grand invertébré connu est, lui aussi, resté longtemps mythique et nié par la science : le calmar géant existe pourtant ! Mais on ne peut assimiler la créature du Loch Ness à ce cas, d'autant qu'il n'existe pas de calmar d'eau douce.
On ne peut pas, non plus, l'assimiler à un amphibien. Ceux-ci n'ont pas besoin de respirer souvent. Ils hibernent et se reproduisent sous l'eau. Seulement, il n'existe pas d'amphibien marin et, les fossiles le montrent, il n'en a jamais existé. Or Nessie vient incontestablement de la mer.
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Il ne reste alors que trois hypothèses, qui font de la créature du Loch Ness un reptile, un mammifère ou un poisson. La piste "reptile" est incontestablement la plus populaire. Contre elle, il existe cependant un certain nombre d'arguments d'ordre biologique. Tout d'abord, la température des eaux est sans doute trop basse pour permettre à un reptile de rester actif. Ensuite, un reptile serait obligé de faire surface pour respirer. Ou de venir à terre pour pondre ses œufs.
Il existe certaines exceptions, qui confirment ces règles : les tortues d'eau douce d'Amérique du Nord peuvent ainsi nager sous la glace qui recouvre les lacs. La tortue lyre, elle, parvient à maintenir sa température au-dessus de celle du milieu ambiant. Certains spécimens de cette espèce ont été capturés au large des côtes occidentales de l'Écosse. Le reptile qui correspondrait le plus volontiers aux descriptions de Nessie serait le plésiosaure. Cet animal est antérieur au cœlacanthe, qui n'a pas laissé de fossiles depuis plus de 70 millions d'années. La piste "mammifère" paraît cependant plus probable. La plupart des phoques, par exemple, se sentent "comme des poissons dans l'eau", même à des températures très basses.
Pourquoi la créature du lac ne serait-elle pas une sorte de phoque à long cou ? La seule objection solide contre cette hypothèse reste le problème de la reproduction : les phoques s'accouplent sur la terre ferme et y élèvent leurs petits. De plus, ils ont besoin de faire surface régulièrement pour respirer. Si le monstre était un poisson pourrait expliquer les rares apparitions en surface et le mode de reproduction discret. Malheureusement, la plupart des témoignages ne le décrivent pas comme un poisson géant.
Les habitants de la région du Loch Ness font valoir qu'il pourrait s'agir d'une anguille géante, d'une espèce inconnue. Et les échos sonar recueillis peuvent suggérer des mouvements comparables à ceux des anguilles. On a également noté que les apparitions se faisaient de préférence à la surface, quand les eaux étaient chaudes : cela peut parfaitement correspondre au comportement d'un poisson de fond.
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LE MYTHE DES GRANDS SERPENTS DE MER
18/04/2008 04:48
LE MYTHE DES GRANDS SERPENTS DE MER Des créatures titanesques sillonnent les mers du globe.
Depuis la nuit des temps des créatures étranges, monstrueuses et titanesques, sillonnent les mers du globe à la recherche de victimes potentielles. Parfois ils réapparaissent surgissant de nulle part, terrassant inexorablement leurs proies et replongent dans les abysses insondables et glauques des océans, ce sont : les Grands Serpents des Mers.
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Personne n'a pu démontrer ou apporter de preuves irréfutables de l'existence d'un grand serpent de mer.
"Alors Persée attaqua le grand serpent marin à coups d'épée. Celui-ci se débattait et la mer était pleine d'écume et de tourbillons. Le sang du monstre alourdissait les sandales ailées et un grand vacarme s'élevait de la mer. S'appuyant sur le rocher, Persée plongea son glaive à quatre reprises dans le flanc du monstre, mais sans grand résultat..." (La légende de Persée).
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Cheval marin (Halshippus olai-magni) des côtes américaines du Pacifique |
Super-loutre (Hyperhydra egedei), des mers boréales |
Multi-bosses (Plurigibbosus novae-angliae), côtes de la Nlle-Anglerre |
Multi-ailerons (Cetioscolopendra aelieni) |
Il était inévitable que le Grand Serpent de Mer fascine de nombreux zoologues et cryptozoologues. Le Hollandais Oudemans en 1893 publia un livre sur cette énigme ("The great sea-serpent"). Il concluait qu'il s'agissait d'un grand pinnipède ayant allure de plésiosaure. Il lui donna le nom de "Megophias megophias". Sa description paraît être bâtie sur un assemblage composite de plusieurs animaux.
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Représentation du Megophias de Oudemans
En 1965, Bernard Heuvelmans publie un livre sur la question. Selon Heuvelmans, le long cou est de toute évidence un pinnipède, les quatre autres seraient peut-être des archéocètes (cétacés primitifs à cou délié). Le multi-bosses est sans doute apparenté aux zeuglodontes. Par étude statistique de centaines de témoignages, il tente de démontrer que le Grand Serpent de Mer a une origine multiple: - Des animaux observés et désormais répertoriés, qui étaient inconnus au moment des faits : requins baleines (cetorhinus maximus), calmars géants (Architeutis), régalecs (Regalecus glane), les vers némertiens démesurés comme le Lineus longissimus. - Des animaux non apparentés aux animaux serpentiformes inconnus.
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En 1932, un navire océanographique, le Dana pêche dans l'Atlantique une énorme larve (leptocéphale) de 1,80 mètre de longueur, émanant d'un poisson anguilliforme. Si la proportion larve/adulte est identique à celle de l'anguille, l'adulte ressemblerait à une anguille d'environ quinze mètres de long.
En 1937, Un cachalot harponné au large de Vancouver, livre de ses entrailles les restes d'un animal serpentiforme à tête de cheval. Edward L. et Paul H. Leblond, ont étudiés d'une façon approfondie cette forme de vie. Selon eux, il s'agit d'un individu juvénile du Serpent de Mer à allure de "cheval marin". D'autres auteurs ont suggéré que c'était un requin ou un fotus de cachalot. - Selon d'autres théories, le Serpent de Mer serait peut-être un Zeuglodon, baleine primitive supposée éteinte. - D'autres encore estiment que le Serpent de Mer, du moins la variété à long cou, serait un plésiosaure survivant. Ce serait le cas d'une carcasse trouvée et hélas rejetée par un chalutier japonais en 1977.
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En 1555 le serpent d'Olaus Magnus, évêque norvégien, décrit en 1555 un Serpent de Mer, relevant de nombreux détails : "Ceux qui naviguent le long de la côte norvégienne assurent tous d'une voix une chose épouvantable, que le long de la mer de Bergen, un serpent à bien 60 mètres de long et 6 d'épaisseur. Il sort la nuit au clair de lune pour aller manger les agneaux, les pourceaux, ou bien passe la mer pour aller manger les polypes, locustes et autres sortes de poissons et cancres marins. Il a des yeux rutilants comme une flamme (flammeos oculos rutilantes). Il se lance contre les navires (...) pour aller dévorer ceux qui sont dedans (...). Il a une masse de poils d'une coudée de long qui lui pendent du cou, des écailles aiguës de couleur noire et des yeux rutilants comme une flamme (...). On estime en ce pays que c'est un mauvais présage quand on le voit courir sus aux personnes et que cela signifie mort de prince".
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En 1856 Le Princess croise un monstre marin par 34°56' de latitude sud et 18°14' de longitude est : "A une heure de l'après-midi, vu un très grand poisson, avec une tête comme un morse et douze nageoires pareilles à celles d'un globicéphale mais tournée en sens inverse. Le dos avait 6 à 9 mètres de long ; également une bonne longueur de queue."
En 1910 à bord du Postdam, une observation est faite en Atlantique nord : "Il nous parut avoir la forme d'un serpent gigantesque, long de 35 à 40 mètres et d'un diamètre d'environ 60 centimètres. Il se déplaçait à vive allure. De temps en temps la tête se dressait presque perpendiculairement sur l'eau, jusqu'à une hauteur de 2,50 à 3 mètres ; elle restait dans cette position pendant un certain temps, puis disparaissait à nouveau. Ces deux mouvements allaient de pair avec un puissant jaillissement de l'eau jusqu'à une hauteur d'environ 6 mètres, cependant que la queue agitait non moins puissamment l'onde (la queue était aplatie et élargie, avec une extrémité bifide)."
En 1934 à Cherbourg (Normandie - France) : "Dans l'après-midi du 28 février 1934, un énorme cadavre d'aspect insolite fut découvert par les pêcheurs de Querqueville à l'ouest de Cherbourg. Sa tête, qui ressemblait à celle d'un chameau, était portée par un cou mince. Il avait deux grandes palettes natatoires (...) Il mesurait environ 6 mètres de long dont 90 centimères pour le cou (...) Le patron d'un remorqueur déclara que le 25 ou 26 janvier précédent, il avait rencontré (...) une grande créature marine se déplaçant à une vitesse considérable. Soudain la tête de l'animal avait surgi de l'eau et lui avait paru semblable à celle d'un cheval. Quand le monstre avait réapparu à nouveau son cou s'était laissé entrevoir et l'homme lui avait trouvé un ressemblance avec celui du chameau". (Heuvelmans Bernard. Le grand serpent de mer. Plon, 1965).
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Australie, un serpent de mer géant |
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LES SIRENES
18/04/2008 04:52
LES SIRENES L'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs
Ces divinités, fluviales à l'origine, étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne. Vaincues, elles se retirèrent sur les côtes d'Italie méridionale. Il se pourrait que l'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs, qui les confondaient avec des animaux rares. Leur équivalent masculin est le triton.
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L'origine des sirènes n’est pas claire, selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Acheloos et de la nymphe Calliope ( ou de Terpischore, la Muse de la danse ), elles auraient été les compagnes de Koré, devenue par la suite " Perséphone ", et auraient laissé " Hadès " l'emmener. Les sirènes auraient reçu leur forme comme punition pour ce crime et, par la suite, les Sirènes, chantaient prophéties et chansons relatives au royaume d'Hadès. Les premières sirènes de la mythologie grecque étaient représentées comme des créatures mi-femme, mi-oiseau ; pour expliquer ces formes étranges, on dit qu’Aphrodite leur mit des pattes et des plumes tout en conservant leur visage de jeunes filles parce qu’elles avaient refusé de donner leur virginité à un Dieu ou à un mortel.
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Ces divinités, fluviales à l'origine, étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne. Les Muses remportèrent le défi et exigèrent une couronne faite des plumes des sirènes, ce qui les priva du don de voler. Vaincues, elles se retirèrent sur les côtes d'Italie méridionale. Au nombre de trois, quatre ou huit, selon l’auteur, elles vivaient sur une ou plusieurs petites îles vertes situées à l’ouest de la Sicile : Anthemusa et les îles des Sirènes (selon les Siciliens, près du Cap Péloros, aujourd’hui Faros, tandis que les latins les situent à Capri), se montrant particulièrement redoutables à l’heure de la sieste, par temps calme.
Il se peut que l'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs, qui les confondaient avec des animaux rares. D'autres descriptions mettent en scène des sirènes à tête et à buste de femme, avec une queue de poisson : ce sont les nymphes de la mer, filles du dieu de la mer Phorcys. Elles seraient alors aperçues à la surface de l'eau ou bien, assises sur un rocher, elles peigneraient leurs longs cheveux et tiendraient un miroir dans leur main.
Ci-contre: : La sirène par Waterhouse (1901)
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Musiciennes dotées d’un talent exceptionnel, elles séduisaient les navigateurs qui, attirés par les accents magiques, de leurs lyres et flûtes et perdaient le sens de l’orientation, fracassant leur bateau sur les récifs où ils étaient dévorés par ces enchanteresses. On leur attribue divers noms : Aglaopé ( celle au beau visage ), Agalophonos (celle qui a une belle voix), Leucosia ( la blanche ), Ligéia ( celle au cri perçant ), Molpé ( la musicienne ), Parthénopé ( celle qui a un visage de jeune fille ), Raidné ( l’amie du progrès ), Télès ( la parfaite ), Thelxépéia ( l’enchanteresse ), Thelxiopé ( celle qui persuade ).
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SIRENES DANS LA MYTHOLOGIE |
Les sirènes vivent sur leur île, tout près des détroits où sévissent Charybde et Scylla. Leur chant est si mélodieux que le marin qui les entend s'arrête sans pouvoir repartir. Le sol de l'île est jonché des os blanchis des marins : ce sont leurs victimes, qui ont fait naufrage sur les rochers. Selon une prophétie, si un navire réussissait à longer leur île sans succomber, les Sirènes se précipiteraient dans la mer pour s'y noyer. Ce qui arriva en deux occasions.
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La première fois, Jason et les Argonautes, à la recherche de la Toison d’Or, échappèrent au pouvoir des sirènes grâce à Orphée, qui à bord de l'Argo triompha de ces créatures maléfiques en chantant tellement bien qu'il couvrit leurs propres chants ! La conclusion de cette légende varie, il se pourrait que suite à cet échec, les sirènes se soient changées en rochers, ou bien que, vexées par la ruse d'Orphée, elles se soient jetées dans les flots et soient mortes noyées ; seul Boutès les entendit et sauta par-dessus bord. Aphrodite, qui l'aimait, lui sauva la vie. On raconte que l’une d’elle, Parthénopé, se jeta dans la mer de rage et que son corps fut ramené sur la côte par les vagues et que , plus tard, on éleva un monument à l’endroit où fut bâti la ville de Naples.
Dans un passage de l'Odyssée, Homère raconte comment Ulysse arriva à passer sans dommage l'île des sirènes, en suivant les conseils de la magicienne Circé : il dit à ses compagnons de se boucher les oreilles avec de la cire, tandis que lui se faisait attacher au mât de son bateau, mais sans se boucher les oreilles.
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Ulysse ordonna à ses hommes de ne pas le détacher même s’il les menaçait de mort. Le chant envoûtant éleva : " Viens ici, viens à nous ! Ulysse tant vanté. Arrête ton navire ; viens écouter nos voix. Jamais un noir vaisseau n'a doublé notre cap sans ouïr les doux airs qui sortent de nos lèvres ; puis on s'en va content et plus riche en savoir. " et lorsque Ulysse suppliait ses hommes de le détacher, ceux-ci, au contraire, resserraient ses liens, lui permettant ainsi de passer l’épreuve.
Cette forme composite existait déjà en Egypte où l’âme était symbolisée par un oiseau à tête et pieds humains. Les Germains avaient aussi leurs sirènes engendrées par le malfaisant, les Nixinnes qui enjôlaient les hommes pour les attirer dans les flots afin de satisfaire l’appétit de leur père.
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La divinité sumerienne puis babylonienne "Oannès" est un être de sexe masculin, un animal devenu divinité qui émergeait de la mer d'Erythrée pour enseigner aux simples mortels les grandes valeurs spirituelles. Un être symbolisant pour les hommes de cette époque les mystères de la guérison et de la fertilité, ainsi que le pouvoir merveilleux du soleil dispensateur de toute vie.
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Ce personnage apparaît dans l'un des rares fragments parvenus jusqu'à nous de l'Histoire de Chaldée, ouvrage de Bérose, prêtre et astronome babylonien qui vivait au IIIe siècle avant J.-C. : " Le corps entier de l'animal, écrit-il, était celui d'un poisson; cependant, il avait sous sa tête de poisson une seconde tête, humaine celle-là, et, joints à la queue, des pieds également humains. Doué de raison, il avait une voix d'homme, et il s'exprimait dans notre langue. Il introduisait ceux qui l'écoutaient dans la connaissance des arts, des lettres, de la science; bref; dans tout ce qui peut contribuer à adoucir les mœurs et à conduire le genre humain à une vraies civilisation. " Ci-contre: Représentation de Oannès
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Le dieu-poisson de Babylone émergeait de la mer le matin pour retourner dans les flots au coucher du soleil. Sur les premières images connues, Oannès apparaît comme un homme portant une tête de poisson en guise de casquette. La peau du poisson est drapée sur ses épaules à la façon d'une cape, la nageoire caudale descendant jusqu'aux jarrets et parfais jusqu'aux chevilles.
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Déesse de la lune, "Atergatis" fut dotée d’une queue de poisson parce qu’elle représentait le pendant féminin d’Oannès. Tout comme lui, elle émergeait de l’océan pour y retourner au terme de son long voyage à travers le ciel nocturne.
Elle devait donc avoir une nature amphibie, moitié humaine, moitié poisson, avec cette différence qu'étant femme elle devait être à la fois moins vigoureuse et plus mystérieuse qu'Oannès. Ce fut sans doute ainsi que naquit la première déesse à corps de poisson. Bientôt ses vertus prirent de l'ampleur et les légendes à son sujet se mirent à prolifèrent. Peu à peu, elle allait accaparer les nombreux traits que les hommes prêtent toujours aux femmes: beauté, vanité, orgueil, cruauté, charme... et bien entendu une tendance inavouée à l'amour impossible. Si bien qu'Atergatis a créee des " doubles " que l'on rencontre dans d'autres mythologies sous d'autres noms.
Ci-contre: Atergatis d'après une pièce de monnaie phénicienne
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En Indes, on trouve les "Apsaras", qui étaient de belles nymphes des eaux. Musiciennes (Luth), elles avaient, comme les sirènes, la faculté de prédire l'avenir.
Celles-ci par contre, étaient bonnes pour les hommes. Nous avons ci-dessous un exemple de bas-relief représentant une Aspara. Avec l'avènement du christianisme, la légende de la sirène prit une nouvelle dimension, la sirène désirait ardemment avoir une âme. Selon la pensée chrétienne, elle ne pouvait l'obtenir que si elle promettait de vivre sur terre et d'abandonner tout espoir de retourner à la mer.
La première histoire en ce sens vient du folklore écossais, au VI iem siècle après JC, ou une sirène, passionnément tombée amoureuse d'un moine de la communauté sainte d'Iona lui avait demandé une âme, mais elle ne pu quitter la mer et ses larmes devinrent des galets que l'on connaît de nos jours sur les rivages d'Iona sous le nom des larmes de sirène.
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Le prestige dont jouissaient les grandes divinités à corps de poisson dans la majeure partie du monde antique (prestige qui n'allait disparaître qu'avec l'avènement de l'ère chrétienne) donna naissance à plusieurs êtres moins surnaturels, d'un aspect plus ou moins similaire. Ainsi, Aphrodite sortant des flots, considérée par certains auteurs comme, une variante d'Atergatis, avait à son service deux ou plusieurs demi-dieux dont le corps humain se terminait par une queue de poisson.
Ces tritons, adorateurs attitrés et chevaliers servants d'Aphrodite, avaient des pouvoirs limités dans le domaine maritime; ils pouvaient notamment apaiser la fureur des vagues et imposer leur volonté à la tempête. D’autres divinités mineures, de sexe féminin, étaient pourvues, à l'origine, de vastes ailes d'oiseaux. Ces créatures que redouta Ulysse ont certainement joué un rôle important dans la formation du mythe des sirènes ; elles furent les premières " beautés fatales " à attirer dans le piège mortel de leur charme, tantôt par leur chant, si enivrant que les malheureux se précipitaient dans la mer, tantôt. en les rendant fous, si bien qu’ils jetaient leur navire sur les récifs. Par suite, cette terrible fascination fut transférée aux sirènes à corps de poisson.
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SIRENES DANS L'IMAGINAIRE |
Le mythe des sirènes est quasi indestructible, l’iconographie antique les représente comme des femmes à queue de poisson tenant des instruments de musique ou des oiseaux à visage et seins de femme. Sur les monuments funéraires, elles figuraient des anges de la mort chantant au son de la lyre tout en ayant des intentions érotiques à l’égard du héros décédé. Plusieurs auteurs anciens les ont citées : Aristote, Pline, Ovide, etc. et les bestiaires médiévaux les décrivent comme des femmes " de la tête aux cuisses " et poissons de " là jusqu’en bas avec des griffes et des ailes ". Elles ont laissé à la postérité leur image gravée dans la pierre des stèles, tombeaux ou des églises romanes où elles personnifient l’âme des morts comme dans l’Egypte ancienne, on les invoquait au moment de la mort.
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Il reste quelques vases grecs qui racontent les aventures d'Ulysse : sur ceux qui sont antérieurs au IIIe siècle avant Jésus Christ, les sirènes apparaissent comme des oiseaux à tête de femme. Par la suite, elles acquièrent des bras, puis une poitrine humaine, attributs peut-être seulement esthétiques, même s'ils constituent des éléments supplémentaires de séduction, puisque les sirènes sont désormais représentées jouant d'un instrument, flûte ou cithare. Ainsi, elles s'humanisent au cours de l'Antiquité pour devenir des femmes ailées chez les Romains et les Etrusques, comme en témoigne la magnifique mosaïque représentant le bateau d'Ulysse, trouvée à Dougga.
Pour les Scandinaves, elle est un monstre redoutable appelé "Margygr", la " géante de mer ". L’œuvre norvégienne le " Miroir royal " la décrit comme une avenante créature ressemblant à " une femme en haut de la ceinture, car ce monstre avait de gros mamelons sur la poitrine, comme une femme, de longs bras et une longue chevelure, et son cou et sa tête étaient en tout formés comme un être humain ".
Ci-contre: La célèbre sirène du port de Copenhague au Danemark
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Ce monstre paraissait grand, avec un visage terrible, un front pointu, des yeux larges, une grande bouche et des joues ridées. Au VIIIe siècle, le moine anglais Aldhelm de Malmesbury les décrit comme des vierges à queue de poisson couverte d'écailles. Ces deux représentations vont cohabiter jusqu'au XVe siècle où les sirènes volantes laissent définitivement la place à une jolie femme aux longs cheveux et à queue de poisson. A cette époque, le naturaliste allemand Johannes de Cuba les fait vivre dans des gouffres au fond des mers ; " on les trouve souvent dans les mers et parfois dans les rivières ", dit de son côté l'écrivain flamand Jacob Van Maerlant ; en revanche, dans la mythologie grecque, ces démons habitent une île du Ponant près de l'île de la magicienne Circée. Ces filles de la mer traînent une triste réputation de dévoreuses d'homme, attirant leurs victimes par des chants mélodieux ou une apparence séduisante, voire les deux. Ces redoutables séductrices peuvent même être de simples jeunes femmes sans queue de poisson vivant dans la mer. Les Anglais les appellent alors Siren plutôt que Mairmaid.
D'illustres navigateurs ont dit avoir rencontré des sirènes : Christophe Colomb, en 1493, en aurait vu trois près des côtes de Saint- Domingue, " mais elles n'étaient pas aussi belles qu'on les décrit... " Un avis qui n'est pas partagé par les marins d'un navire américain qui ont observé, vers 1850, près des îles Sandwich ( Hawaii ), une sirène " d'une grande beauté qui ne cédait en rien aux plus belles femmes ". Ces sirènes sont certainement des mammifères marins, tels les lamantins et les dugongs, qui vivent dans les eaux peu profondes des archipels, des lagunes et estuaires.
En 1403, près d'Edam en Hollande, un " spécimen " a été capturé par deux jeunes filles. Il s'agissait d'une femme, trouvée nue dans l'eau et ne parlant aucune langue connue, qui fut surnommée la " sirène d'Edam ".
Des pastiches de sirène " desséchées " ont été fabriqués dès le XVIe siècle, et exposés dans les foires et les musées. Mais c'est surtout au XIXe siècle qu'ils ont attiré les foules. Ces monstres hideux étaient fabriqués au Japon, en Inde ou en Chine. Le haut du corps est constitué d'un buste d'orang-outan ou de guenon. La queue est celle d'un gros poisson. Quand au XVIIe siècle, à Leyde, un certain Pavio disséqua une sirène en présence du célèbre médecin Joannes de Laet, apportant un certain crédit scientifique à l'animal fabuleux. La tête et la poitrine étaient humaines mais, du nombril au pied, l'être était informe et sans queue.
Créée en 1835, par l'écrivain danois Hans Christian Andersen, la légende moderne de la sirène continue de faire des vagues, elle n’est plus la terrible tentatrice mais devient une héroïne romantique, qui cherche l’amour, telle Ondine qui offre son âme à l’homme qui voudra bien l’épouser. Le dessin animé de Walt Disney, la Petite Sirène (1989), reprend des éléments issus de la culture populaire et du conte d'Andersen.
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VOIR SON AURA
18/04/2008 04:57
VOIR SON AURA Une sorte atmosphère fluidique
On appelle Aura une sorte d’atmosphère fluidique, provenant de la condensation des forces fluidiques que tout être humain possède. L’aura est une sorte de lumière floue qui rayonne autour de votre corps. L’aura est connectée avec des fluides cosmiques, et vous pouvez le renforcer à l’aide de certaines pratiques de méditations.
Parait-il, nous pouvons voir notre aura. Vous pouvez, si vous le désirez, vous livrer à cette petite expérience. Le plus facile est de regarder simplement son doigt, l'index par exemple, en le fixant sous un certain angle et à courte distance (quelques centimètres tout au plus). La réussite de l'expérience dépend notamment de votre état d'esprit, ainsi, des tensions internes, la maladie, de même que des problèmes d'acuité visuelle ou d'éclairage (évidemment!) peuvent la faire échouer. Si cela devait être le cas, ne vous désolez pas et recommencez simplement à un meilleur moment et dans de meilleures conditions).
A un moment donné, vous finirez bien par apercevoir une légère zone de flou, de couleur presque semblable à celle du doigt en question, mais un peu estompée. Vous verrez à ce moment là une toute petite partie de votre aura (la couleur peut varier) et vous "comprendrez", plus que vous ne pourrez l'expliquer faute de vocabulaire adéquat, le caractère immatériel et superposé ou juxtaposé de cette "chose".
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Noir |
jet
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tolérance, souvenir, abandon de soi, détachement
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chocolaté
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intolérance, rejet de soi
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Marron |
chocolat
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insatisfaction, frustration, jalousie
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foncé
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égoïsme
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clair
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bonté, paix et amitié
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Gris |
pâle
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douceur, communication, bonté
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plombé
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tristesse, malaise, santé déficiente
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clair
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timidité, humilité, franchise
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verdâtre
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procréation, fertilité
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Rouge |
brun
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avarice, frustration
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feu
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amour, passion, désir
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cerise
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amour pur, franchise
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Bleu |
clair
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mysticisme rêveur
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foncé
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religiosité, ferveur, infini
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lilas
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spiritualité élevée
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Jaune |
rouge
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intellectualité forte
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or
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intellectualité élevée
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Violet |
en général
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dévotion, amitié et affection
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L’aura est très aisément perceptible par la voyance naturelle. Les voyants aperçoivent les auras teintées de couleurs diverses. Par expérience on classe ainsi le rapport de ces couleurs avec les différents caractère de la personne (voir tableau).
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ABLAY LE MYSTERIEUX
18/04/2008 05:01
ABLAY LE MYSTERIEUX Le petit garçon trouvé dans un village de montagne
Ce garçon, appelé Ablay, moitié homme moitié singe, a été trouvé lorsqu'il avait 6 ans dans un village près de la montagne à la frontière du Kazakhstan et de la Chine.
Ablay est couvert de cheveux épais de la tête aux pieds et a un crâne en forme ovale. Les medecins suspectent un trop grand rayonnement nucléaire ou un désordre génétique pour expliquer le phénomène. Il est possible que les parent d'Ablay aient été en contact avec du nucléaire par accident, suite à un problème militaire par exemple, où autre... En Chine c'est tout à fait possible.
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Ablay a été trouvé par une équipe de médecins dans un camp médical pour les enfants dans le village de Terymagash. Ils croient qu'il souffre d'un état rare et incurable connu sous le nom de hyperthrihos (malformation) mais ne sont certain de rien au sujet du petit garçon.
Sa mère Ayaulym, 26 ans, et son père Bahyt, 33 ans, sont des parents éloignés. De tels mariages sont communs dans les hameaux de montagne de Kazakhstan. Sa mère a voulu qu'il allât à l'école plutôt que dans un cirque comme le voulait les anciens du village. Les médecins de l'hôpital d'Aksay ont été étonné de l'extrème mobilité du garçonnet, sa grande flexibilité, sa sociabilité, une intuition hors du commun, et un sens unique de la direction.
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LE TRIANGLE DES BERMUDES
18/04/2008 05:06
LE TRIANGLE DES BERMUDES Une quarantaine d'avions et une cinquantaine de bateaux auraient disparu
Le triangle des Bermudes, zone géographique également surnommé "Triangle du diable", s'étend sur 3,9 millions de Km² entre les Bermudes, Puerto Rico et la Floride. Il est situé entre 30° et 40° Nord de longitude. Il est connu pour les nombreuses disparitions inexpliquées de bateaux et d'avions dont il a été le théâtre.
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Le triangle des Bermudes est connu pour les nombreuses disparitions inexpliquées de bateaux et d'avions dont il a été le théâtre. Il contient 150 petites îles situées à l'Est de la côte américaine dans l'océan Atlantique. C'est Vincent Gaddis qui a créé l'expression dans "The Deadly Bermuda Triangle", publié dans le numéro de février 1964 du magazine de fiction Argosy, inspiré par plusieurs articles antérieurs publiés par divers magazines dans les années cinquante. Certains font remonter l'origine du mystère à l'époque de Christophe Colomb, mais les disparitions inexpliquées ont été observées surtout au début du siècle. En 1918, le Cyclop, un charbonnier de la marine américaine à bord duquel se trouvent 308 hommes d'équipage, disparaît mystérieusement. 30 ans plus tard, c'est un avion de transport DC3 qui disparaît aussi, il se trouvait pourtant à seulement 90 Km de Miami. Fait étonnant, le commandant informe que tout va bien et qu'il attend les consignes pour atterrir, lors de son dernier message à la tour de contrôle.
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Le vol 19, constitué de 5 avions torpilleurs Avenger, quitte la base aéronavale de Fort Lauderdale, en Floride, pour une mission de routine le 5 décembre 1945. Au bout d'une heure, le lieutenant Charles Taylor avertit la tour de contrôle qu'ils sont perdus. La tour demande au vol de prendre la direction de l'Ouest, mais l'officier lui répond : " Nous ne savons pas où est l'ouest. Tout est faux, étrange. Nous ne sommes sûr d'aucune direction. Même l'océan ne semble pas comme d'habitude ". Le contact radio est alors rompu, et un hydravion bimoteur part à son tour pour leur porter secours, il ne reviendra pas. Ni la commission d'enquête de la Marine, ni personne d'autre ne peut donner d'explication sur la disparition des six avions et vingt-sept hommes. Le vol 19 reste le cas le plus célèbre de disparition inexpliquée du triangle des Bermudes.
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Plusieurs théories ont été avancées pour expliquer l'extraordinaire mystère des navires et avions disparus. Parmi les hypothèse scientifiques, on a souvent invoqué des perturbations magnétiques et des «flatulences océaniques», (du méthane venu des fonds marins) qui diminuent fortement la densité de l'eau jusqu'à provoquer un naufrage. En ces endroits, se trouve un orifice de sortie d’un sous-produit de la compression terrestre, c’est-à-dire un sous-produit de la gravité, en provenance du centre de la Terre. C’est un évent, duquel par périodes il s’échappe à flot des particules subatomiques inconnues de l’homme, et malheur à l’être humain ou au poisson qui se trouve sur leur passage. Pour avérés qu'ils soient, ces deux phénomènes n'ont pas été observés dans la région. D'autres explications sont avancées comme la météo (tempêtes, ouragans, tsunamis, courants, ...), la malchance, les pirates, les cargaisons explosives, les navigateurs incompétents et d'autres causes naturelles ou humaines...
Ce lieu pourrait être le centre d'une distorsion spatio-temporelle entraînant navires et avions dans des époques différentes de la nôtre ou dans d'autres dimensions. D'autres pensent aux extraterrestres, des cristaux venus de l'Atlantide, des appareils anti-gravité, et des tourbillons issus de la quatrième dimension sont parmi les explications favorites fournies par les auteurs fantastiques.
Certains sceptiques soutiennent que les faits sont insuffisants pour appuyer la légende et qu'il n'y a aucun mystère à résoudre, ni rien à expliquer. Il est à noter que le nombre de disparitions n'est pas du tout élevé rapporté à la surface (près de 4 millions de km2) et à la météo très capricieuse sous ces latitudes. De plus, plusieurs naufrages prétendus se sont avérées inexacts. Pour certains, le mystère reste à éclaircir. Pour d'autres, il n'y a pas de mystère, sauf peut-être la propagation de la légende sur la base de faits très minces.
Une autre hypothèse est que la météorite tombé dans le Yucatan il y 65 millions d’années, qui aurait soufflé des régions entières (entrainant la disparition des dinosaures), a boulversé le champ magnétique terreste. Cela expliquerait les anomalies magnétiques qui affolent les boussoles, arrêtent les horloges et font disparaître des objets.
L'écrivain Charles Berlltz attribue ces mystérieuses disparitions à des phénomènes électromagnétiques produisant une “désintégration moléculaire” ce qui explique, selon lui, que l'on ne trouve jamais de traces des bateaux ou des avions disparus. L'écrivain affirme aussi que, les Etats-Unis et l'Union Soviétique enquêtaient conjointement dans le Triangle des Bermudes dès 1978, dans le cadre d'un plan dénommé “Polymode” auquel participent des bateaux des deux puissances.
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Entre 1945 et 1975, 37 avions, plus d'une cinquantaine de bateaux et même un sous-marin atomique, disparaissent tout aussi mystérieusement et sans qu'aucun débris ni corps n'ait été retrouvé. A l'exception du vol 19 en et le cargo Raifuku en 1925, les victimes n'envoient jamais le moindre S.O.S. mais, bien au contraire, affirment souvent peu avant le drame que leur traversée se déroule tout à fait normalement.
1800 Le Pickering, un bateau américain
1854 Le Bella un navire britannique qui faisait voile vers la Jamaïque.
1866 Le Lotta un trois-mâts suédois.
1868 Le Viego, un navire marchand espagnol.
1872 La Mary Celeste, bien qu'elle n'ait pas été retrouvée dans le Triangle, mais entre les Açores et Gibraltar.
1880 L'Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers et tout son équipage.
1884 Le Miramon, une goélette italienne.
1902 Le trois-mâts allemand la Freya abandonné par son équipage errait à la dérive. Des dégâts laissèrent supposer qu'il avait été pris dans une violente tempête. Pourtant, rien de la sorte n'avait été signalé dans la région.
1918 Le Cyclops, un navire charbonnier. Aucun S.O.S. n'avait été envoyé et pourtant, il y avait une radio à bord.
1925 Le message suivant a été envoyé par le Raifuku Maru un cargo japonais : "Danger like dagger now. Corne quick ! (Danger poignard. Au secours. Vite !) Qu'a voulu dire l'opérateur radio ?
1938 Le vapeur l'Anglo Australien signala : " Temps idéal. Tout va bien ", avant de pénétrer dans la zone et on ne l'a jamais revu.
1945 Le vol 19, le cas le plus célèbre : La disparition de cinq bombardiers américains.
1948 Le Star Tiger était un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes. Il disparut après avoir envoyé le message suivant : "Conditions météo excellentes. Arriverons à l'heure prévue.
1948 Un Doublas DC 3 disparut entre Porto Rico et la Floride. Le pilote aurait transmis les informations suivantes : " Nous approchons de l'aéroport... Nous ne sommes plus qu'à 80 km au sud... Nous apercevons les lumières de Miami... Tout va bien. Attendons les instructions pour l'atterrissage. La tour de contrôle de Miami répondit en vain. On ne retrouva jamais le DC 3, bien qu'il eût disparu près des côtes, là où la profondeur de l'eau n'atteint pas plus de 6 mètres.
1950 Par une mer calme, un cargo costaricain disparut avec son équipage de 28 hommes. "Que s'est-il passé ? " demande Adi Kent Thomas Jeffrey. Personne n'en a la moindre idée. Le mystère s'épaissit lorsque le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographique Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu'il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : "Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations. Richard Winer fait remarquer, en effet, que, dans le Triangle, l'aiguille de la boussole n'indique pas le pôle Nord magnétique mais le pôle Nord réel.
Entre 1950 et 1954 neuf cargos auraient disparu dans cette zone mystérieuse.
1955 Le gouvernement japonais aurait chargé une équipe de savants de résoudre ce mystère. Conclusion : le navire expérimental Kaiyo Maru aurai disparut à son tour. En fait, il ne s'agit pas de neuf cargos, mais de neuf bateaux de pêche, de 62 à 192 t, dont on a perdu la trace entre 1949 et 1953'. Quant au Kaiyo Maru n° 5, il ne disparut pas en 1955. mais en 1952. Il y avait bien des chercheurs à bord, mais ils étudiaient la naissance d'un îlot volcanique. Enfin, les autorités japonaises n'ont jamais interdit l'accès de cette zone...
1966 Le remorqueur de sauvetage Good News fait route de Porto Rico à Fort Lauderdale, lorsqu'il est entouré par un brouillard très épais et secoué par des eaux houleuses. Le compas et les instruments électriques commencent aussitôt à se détraquer. Pourtant, dès que le navire sort de cette brume énigmatique, le temps est clair, la mer est redevenue calme et les instruments fonctionnent à nouveau normalement.
1972 Le pilote Chuck Wakely vole entre Bimini et Miami. Il croit voir que les ailes de son avion deviennent translucides. En quelques minutes, l'habitacle du pilote est inondé par une lueur étrange et l'appareil change de direction sans qu'il puisse intervenir. La lumière s'arrête et les instruments de bord de remettent aussitôt à fonctionner.
1975 La vedette côtière Diligence se porte au secours d'un cargo en flammes lorsque sa radio s'éteint brutalement sans raison. L'équipage voit de mystérieuses lumières vertes tomber du ciel. L'enquête ultérieure ne peut, là non plus, donner aucune explication rationnelle à cette panne et à ces phénomènes étranges.
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LES VESTIGES SOUS-MARINS DES CARAIBES |
En avril 1977, Charles Berlitz , écrivain linguiste et explorateur des fonds-marins, alors âgé de 60 ans annonce la découverte d'une pyramide au large de Cuba. Berlitz a commencé à s'intéresser au mystérieux Triangle des Bermudes dés 1945, alors qu'il était lieutenant colonel dans l'Armée de l'Air Américaine et que de nombreux bombardiers américains avaient disparu à cet endroit.
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Il estime que la pyramide sous les eaux de l'Atlantique, dans le “Triangle des Bermudes”, serait à peine moins grande que la pyramide égyptienne du pharaon Chéops. L'écrivain a précisé que ce sont des amis pécheurs qui ont été le premiers à repérer l’existence de ce qui semblait être le sommet d'une montagne sous-marine. Berlitz s'est alors rendu lui même sur place a confirmé la présence de la pyramide grâce à un nouveau système de sonar latéral plus perfectionné que le sonar horizontal, que l'on utilise pour localiser les bancs de poissons.
En Aout 1978, une expédition scientifique est organisée a deux cents milles nautiques au sud des Bahamas pour tenter d'identifier l'objet de forme pyramidale qui a été localisé par 100 m de profondeur sous la mer.
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L'expédition a démontré qu'il s'agit bien d'un objet de forme pyramidale de 150m de haut et de 300m de longueur à la base. Le 6 décembre 1978 l'expédition confirmait la découverte de structures de pierre profondément immergés en dessous de la surface de l'océan qui pourraient avoir été érigées par une civilisation inconnue, il y a des milliers d'années de cela...
Puis en 2001, une autre expédition avec un robot sous-marin de poche équipé d'une caméra de plongée a filmé les structures et révela des formes de cubes et de pyramides. les structures mégalithiques découvertes prouvent qu'une civilisation a vécu il y a des milliers d'années, sur une île qui s'étendait de l'archipel de Cuba jusqu'à la péninsule du Yucatan, cent quatre vingt kilomètres plus loin. Les découvreurs ne parlent pas d'Atlantide mais seulement d'une cité apparentée aux débuts de la culture de Téotihuacan. Les tenants d'une liaison terrestre entre les Caraïbes et le Yucatan mexicain à un moment de l'Histoire voient leur théorie renforcée.
Il existe aussi des vestiges dans la région de l'île Bimini, ces ruines vieillent de 10.000 ans seraient un ancien port et contiendraient plusieurs temples ainsi qu'une plateforme autour de l'île d'Andros
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LA THEORIE DES MONDES PARALLELES
18/04/2008 05:09
LA THEORIE DES MONDES PARALLELES
Relativité restreinte - Trous noirs - Univers paralleles Voyage dans le temps - Théorie du chaos
C'est en partie grâceaux travaux sur la relativité d' Albert Einstein que d'autres physiciens ont pu élaborer une théorie sur les univers parallèles. Einstein a montré, grâce à ses travaux sur la relativité restreinte, que les voyages inter-dimensionnels sont en théorie tout à fait possibles. A la fin de sa vie Albert Einstein travaillait sur ce sujet, mais il n'aura pas eu le temps de continuer ses travaux.
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LA THEORIE DE LA RELATIVITE RESTREINTE |
Elle fut publiée par Einstein en 1905. Elle repose sur une analyse critique des notions d'espace et de temps , rendue nécessaire par la contradiction de la mécanique classique et de l'électromagnétisme. Einstein remit en cause les notions de temps absolu et d'espace universel et en particulier la notion de simultanéité de deux évènements se produisants en des lieux différents: En clair, cela signifie que deux évènements pourront être simultanés pour un observateur placé dans un repère R sans l'être pour un observateur placé dans un repère R' en mouvement par rapport à R.
Rien ne se déplace plus vite que la vitesse de la lumière. et seuls les photons ou d'autres particules sans masses intrinsèques peuvent l'atteindre.
Non-existence du repos absolu dans l'Univers. Einstein postula que deux observateurs, se déplaçant l'un par rapport à l'autre à une vitesse constante, observent des «lois de la nature» identiques. Toutefois, l'un des observateurs peut enregistrer deux événements sur des étoiles éloignées comme s'ils avaient lieu simultanément, pendant que le second observateur constate qu'un événement s'est produit avant l'autre. Cette divergence des observations n'est pas une objection valable à la théorie de la relativité. En effet, selon cette dernière, la simultanéité n'existe pas pour des événements éloignés. En d'autres termes, il est impossible de seulement spécifier le moment où l'événement se produit, sans préciser l'endroit où il a lieu. La «distance» ou l'«intervalle» entre deux événements peut être décrit exactement en combinant les intervalles de temps et d'espace, mais pas par l'un ou l'autre séparément. L'espace-temps à quatre dimensions (trois dimensions pour l'espace et une pour le temps), dans lequel tous les événements de l'Univers ont lieu, est appelé continuum espace-temps. Dans cet espace, le mouvement spatio-temporel d'un corps est décrit par sa ligne universelle.
Il n'y a pas de temps absolu Il n'y a aucune raison théorique que la même montre mise entre les mains de deux observateurs différents (qui sont placés dans des lieux différents) indique la même heure.
On apprend donc grâce à la relativité restreinte que le temps "ralentit" dans un repère en mouvement, autremant dit que plus un objet se déplace vite, plus le temps s'écoule lentement pour lui...on peut illustrer ceci grâce au célèbre exemple du paradoxe des jumeaux de Langevin:
Imaginons que Julien et Aurélien soient deux jumeaux de 20 ans habitant sur la Terre...Julien décide d'embarquer dans une fusée spatiale alors qu'Aurélien reste sur Terre...imaginons maintenant que Julien voyage à une vitesse ultra-rapide à bord de sa fusée (disons 2/3 de la vitesse de la lumière)...Julien reste deux ans dans sa fusée qui voyage à une vitesse ultra-rapide et décide de rentrer sur Terre...pour lui, deux ans se sont écoulés ce qui lui fait 22 ans...quand il rentre sur Terre, il est stupéfait car il découvre que son frère est devenu un vieillard...sur Terre, plusieurs dizaines d'années se sont écoulées...
Le mot de paradoxe découle du raisonnement naïf (et faux) voulant que l'effet soit symétrique (sous le prétexte qu'en relativité une vitesse n'a aucun caractère absolu), ce qui aboutit à une situation contradictoire. En effet, en appliquant les mêmes arguments à son frère voyageant «par rapport à lui» dans l'espace (son frère s'éloigne puis se rapproche), Julien pourrait en conclure que c'est Aurélien, et non lui-même, qui serait le plus jeune lors des retrouvailles. Il aurait tort. En réalité l'aventure n'a rien de symétrique : c'est bien Aurélien qui bouge . La fusée doit notamment faire demi-tour pour revenir sur Terre, manoeuvre entraînant un changement complet de repère (techniquement parlant on parle de changement de repère «galiléen»), alors que rien ne vient troubler la quiétude d'Aurélien sur Terre. Autrement dit encore, si un seul système de référence (galiléen, c'est-à-dire en mouvement uniforme) suffit à repérer Aurélien (et on peut le choisir de façon telle qu'il y reste constamment au repos), il en faut au moins deux pour repérer la fusée de Julien, un à l'aller, un autre au retour (et Julien doit impérativement changer de système de référence si il veut rester au repos dans chacun des repères successifs).
Pour expliquer la différence d'âge, prenons comme base un énorme phare dans l'espace de sorte qu'il soit visible de la Terre et de la fusée (on pourrait prendre un pulsar...). Considérons qu'en une seconde écoulée sur Terre, il y ait un éclair de phare...on remarque qu'à l'intérieur de la fusée, en 100 secondes lues sur les cadrans, on comptera non pas les 100 éclairs attendus mais 110. Comme le phare n'a pas modifié son rythme intrinsèque du seul fait du déplacement de la fusée, nous en concluons qu'en sens inverse ce sont les horloges embarquées qui se sont mises à battre plus lentement : à 110 éclairs du phare correspondent non pas 110 secondes lues (comme sur Terre) mais seulement 100. Autrement dit, à un certain temps en fusée mesuré avec les appareils embarqués (100 secondes) correspond un temps terrestre plus long (110 secondes).
Pour en revenir à l'horloge que constitue le phare, Julien et Aurélien auront (évidemment) compté le même nombres d'éclairs. Comment se fait-il alors que Julien se retrouve plus jeune qu'Aurélien ? Tout simplement parce qu'il aura vu l'objet pulser plus rapidement dans un laps de temps plus court. Ceci compense cela.
Cette théorie fut complétée en 1916 par la théorie de la relativité générale : Cette dernière nous apprend que l'espace-temps, qui comprend les trois dimensions d'espace plus une quatrième qui est le temps, est courbé au voisinage d'une masse et que le mouvement d'une particule au voisinage de cette masse s'effectue suivant le chemin le plus court dans cet espace-temps.
Et en manipulant les théorie de la relativité, on remarque qu'il est théoriquement possible de trouver des objets assez lourds et denses pour pouvoir faire un trou dans l'espace-temps. Il se formeraient ainsi des trous noirs, appelés aussi singularités , qui rendraient le voyage dans des réalités alternatives possible.
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TROUS NOIRS, TROUS BLANCS ET TROUS DE VERS |
Les trous noirs Au cours de sa vie, une étoile dégage de l'énergie par fusion thermonucléaire en créant une pression suffisante pour compenser les effets de la gravitation. Lorsque son combustible est épuisé, cette pression diminue et l'étoile commence à s'éffondrer sur elle-même. Lorque l'étoile est très massive (environ 10 fois la masse du soleil), l'effondrement est radical, la densité devient gigantesque, et le champ gravitationnel retient les photons (ce qui explique pourquoi nous ne pouvons pas voir un trou noir ceci explique probablement le nom lui-même).
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Cependant, ils peuvent tous de même être détectés par leur effets secondaires s'ils appartiennent à un système composé de plusieurs étoiles ou par l'action de leur champ de gravitation sur les étoiles voisines (il y en aurait d'ailleurs sûrement un au centre de notre galaxie.
D'après le physicien britannique Stephen Hawking, de nombreux trous noirs seraient apparus lors de la formation de l'Univers. S'il en est ainsi, la plupart de ces trous noirs sont trop éloignés de toute matière pour pouvoir former des disques d'accrétion décelables!; cependant, ils représenteraient une portion significative de la masse totale de l'Univers.
Hawking a également supposé que les trous noirs forment des «couloirs d'échappement» vers d'autres univers distincts du nôtre dont la sortie serait un trou blanc.
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Les trous blancs On peut alors penser qu'un trou noir et un trou blanc peuvent être reliés ensemble. En effet, si de la matière est aspirée par un trou noir, elle pourrait être rejetée par un trou blanc. La communication qui se ferait entre les deux est appelée trou de ver. Mais il serait encore plus difficile de repérer un trou blanc qu'un trou noir. Certains scientifiques pensent pourtant que des trous noirs déjà répertoriés seraient des trous blanc.
Les trous de ver Albert Einstein et Nathan Rosen supposèrent que certains trous noirs (ou puits gravitationnels) pouvaient déboucher sur un autre puit symétrique appelé fontaine blanche. Ce passage est appelé trou de ver ou également pont Einstein-Rosen-Podolski (appelé plus couramment pont Einstein-Rosen). Les fontaines blanches déboucheraient en un à point de l'espace et du temps complétement diférent du point d'entrée dans le trou noir. Une sorte de tunnel dans l'Univers reliant deux lieux plus ou moins éloignés l'un de l'autre (pourquoi pas dans deux galaxies différentes), et à travers lequel la matière peut voyager plus rapidement que la lumière. L'entrée d'un trou de ver consiste en un trou noir. Formé à partir des restes d'une vieille étoile qui s'est affaissée sur elle-même, le trou noir absorbe toute la matière et toute l'énergie qui passe à sa portée. Certains physiciens se sont demandé s'il n'existerait pas, à l'opposé des trous noirs, des trous blancs qui seraient capables de faire jaillir de la matière. Ces trous blancs seraient comme des robinets de matière et d'énergie ouverts en continu sur le ciel. Ils sont aussi considérés comme les sorties idéales de trous de ver. Mais jusqu'ici, ni trou blanc ni trou de ver n'ont encore été détectés dans le ciel…
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Leur existence est prouvée en physique quantique dont le principal concept est le suivant: On ne peut pas connaître simultanément la position et la vitesse d'une particule...c'est le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg. La création des univers parallèles peut s'expliquer par le très bon exemple du chat de Schrödinger:
Imaginons un chat piégé dans une pièce sans fenêtres. A l'intérieur de cette pièce se trouve une capsule de cyanure prête à être brisée par un marteau. Imaginons que le basculement du marteau (qui éclaterait la capsule) soit déclenché par un photon, simple particule de lumière projetée vers un miroir semi transparent. Un tel miroir laisse passer le photon une fois sur deux. Si la particule traverse le miroir, le mécanisme se déclenche, si elle se réfléchit sur le mirroir, rien ne se passe. La probabilité que l'un des deux évènement se produise est donc 1/2. Il y a donc une chance sur deux que le chat trépasse. Là où les choses se compliquent, c'est qu'en physique quantique, une particule s'apparente non seulement à une particule mais aussi à une onde. Cette onde s'étale dans l'espace à la façon des vagues à la surface de l'eau quand on y jette un caillou. Le photon désigne aussi une onde et son aspect ondulatoire lui confère la propriété de se trouver en de multiples endroits à la fois. Le photon a donc la capacité de traverser le miroir et au même moment, d'y rebondir. Les deux possibilités cohexistent et comme le destin du chat se trouve intimement lié à l'attitude du photon, on en déduit que le chat est à la fois mort (car le photon traverse le miroir) et vivant (car il rebondit dessus).
Mais bien sûr, une telle situation est inimaginable et physiquement impossible...la solution apportée est la suivante:
A chaque instant qu'une particule peut avoir plusieurs états simultanément, il se crée des univers correspondant aux différents états possibles. Il existerait donc un univers où le chat est mort et un autre où le chat est vivant et l'univers depuis lequel on observe ceci serait choisit aléatoirement.
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Depuis Albert Einstein, on sait que la vitesse maximale de tout voyage interstellaire est la vitesse de la lumière, soit environ 300 000 km/s. La physique de la relativité restreinte prédit également que, plus on approche de la vitesse de la lumière, plus la masse de notre «vaisseau» augmente, et donc, plus il est difficile d'accélérer. De plus, tout objet possédant une masse non nulle (à peu près tout sauf des particules comme des photons), il est impossible d'atteindre la vitesse de la lumière, les quantités d'énergie nécessaires étant colossales. Cependant, les équations de la relativité sont symétriques: en d'autres termes, si on parvenait, par des moyens qu'on ne peut aujourd'hui imaginer, à dépasser la vitesse de la lumière, on voyagerait maintenant vers le passé. Évidemment, les difficultés pratiques d'une telle réalisation sont trop nombreuses pour les énumérer ici, mais mentionnons seulement celle-ci: toutes les expériences confirment la théorie d'Einstein, à savoir que la vitesse de la lumière est un maximum absolu, qu'on ne peut jamais atteindre et encore moins dépasser.
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Il existe une théorie qui fait l'objet de nombreuses études en raison de son caractère troublant;cette théorie s'appelle synchronicité et est plus connue sous le nom de "théorie du chaos". Elle fût énoncée pour la première fois par Carl Young. Cette théorie concerne les systèmes faits de milliards d'éléments en interactions et qui sont très sensibles aux conditions initiales (exemple: les marchés boursiers, la biologie des populations...). Un autre exemple est la météorologie: On remarque, grâce aux images satellites, que les masses nuageuses sont tantôt ordonnées en forme de spirale, tantôt désordonnées. En effet, les perturbations peuvent être crées par les forces de Coriolis mais elle peuvent aussi être dues à la configuration géographique du terrain ou à l'implantation humaine. Il suffit d'une variation infime au départ pour entraîner des variations gigantesques à l'arrivée...citons le célèbre exemple du battement d'aile d'un papillon à Singapour qui peut provoquer un cyclone aux Antilles... Ces systèmes dont les comportements sont imprévisibles sont appelés systèmes chaotiques déterministes. Selon la théorie du Chaos, de tels systèmes possèderaient des formations préférentielles appelées attracteurs étranges...les images fractales, les électroencéphalogrammes constituent tous des attracteurs étranges.
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19/04/2008 04:23
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